Pouvoir et orgasme ruiné

la keyholder procure un argasme ruiné à son soumis qu'elle a sorti de sa cage de chasteté. L'éjaculation s'écoule lentement du sexe

L’orgasme ruiné

Je ne reviendrai pas sur ce qu’est l’orgasme ruiné, j’ai consacré plusieurs articles à cette pratique qui est à la base de la chasteté contrôlée.

Par exemple vous pouvez lire celui-ci ou celui-là.

N’ayez pas peur d’essayer, le pire qui puisse arriver est que vous arrêtiez trop tard et qu’il ait presque une vraie jouissance.

Bon, il vous faudra attendre quelques jours supplémentaires d’enfermement de son sexe pour qu’il redevienne suffisamment frustré pour vous manger dans la main. Mais ce n’est rien de vraiment grave.

Vous arriverez rapidement, avec un peu d’entraînement, à atteindre exactement le point de non-retour qui permettra qu’il se vide sans jouir. Le Graal de l’éjaculation qui s’écoule plusieurs secondes après avoir arrêté de le stimuler et sans qu’il ressente aucun plaisir. Juste le soulagement de ses boules qui se vident. Mais sans la fin de sa frustration. Donc sans la fin de votre pouvoir.

Le pouvoir de la keyholder

Car pour la keyholder, c’est une question de pouvoir.

Personnellement, je ne suis pas sadique. Je n’éprouve aucun plaisir à lui faire mal. Je ne suis pas une cruelle domina en cuir avec un fouet qui aime lacérer son esclave.

Non, je ne lui ruine pas ses orgasmes par sadisme.

En revanche, ce que je sais, c’est que si je le laisse jouir et éjaculer avec ce superbe jet qu’il est capable de produire et ses spasmes incontrôlables que j’observe parfois, alors il en sort béatement satisfait.

Sitôt sa jouissance passée, il reste là à sourire bêtement. Il ne s’intéresse plus à moi. Il se replie sur lui-même.

Tout le contraire de ses périodes de chasteté contrôlée pendant lesquelles il ne pense qu’à moi, qu’à ma satisfaction, à mon plaisir. Ces périodes pendant lesquelles, mon plaisir devient le sien et pendant lesquelles je rebondis d’orgasmes en orgasmes.

Alors oui, sa frustration est la clé de ce festival sensuel.

Mais parfois je dois être gentille (et je veux aussi prendre soin de sa petite bestiole que j’aime quand même bien)

Alors je le laisse vider ses boules qui en deviennent bleues à force de ne pas s’évacuer.

Mais attention, pas comme un vrai orgasme.

Car l’orgasme ruiné présente cet immense avantage de lui permettre de satisfaire un besoin naturel d’évacuer son trop-plein, mais sans mettre fin à sa frustration.

Pour moi c’est merveilleux : mon pouvoir reste intact et sa faim de moi, non seulement ne se termine pas mais elle s’exacerbe presque.

Pour lui…

Pour lui je m’en fiche, il m’aime et ne pense qu’à moi !

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