Attendrir la bête

Etre Princesse cela se travaille

Surtout dans des périodes comme Locktober, durant lesquelles il peut en venir à se désespérer, il faut donner un peu du sien.

Pendant ces périodes de chasteté contrôlée, on a un homme malléable, qui fait tout à la maison.

Il s’investit dans notre propre plaisir de façon extraordinaire. C’est une période durant laquelle je jouis jusqu’à plus soif. J’ai l’impression que mon corps est un violon qui vibre en permanence, même lorsqu’il n’est pas à côté de moi.

Cela vient du fait que je n’hésite pas à enchaîner les orgasmes. Que je ne m’arrête que lorsque je n’en peux plus et que cela me donne une forme éblouissante.

Souvent au travail en pleine journée, je me mets à penser à la séance du soir.

Et le soir en m’endormant, je pense à ce que sera mon réveil, lorsque je le coincerai entre mes cuisses pour un petit orgasme vite fait au réveil pour bien démarrer la journée.

Mais bien sûr, il ne faut pas le laisser aller au désespoir.

Alors je me dois d’entretenir sa flamme.

C’est tout un travail

Un exemple : le travail des tétins

Bien sûr, le jeu est de ne pas le laisser jouir. Autrement, il redeviendrait le balourd qu’il est après avoir satisfait sa queue par une éjaculation.

Il y a de longues séances de teasing. J’en ai raconté plein.

Je pense que la plus longue est cruelle que j’ai pu faire avec lui était celle-là

Mais parfois je me concentre uniquement sur ses seins sans même lui retirer sa cage.

D’abord, je les amène à un point de sensibilité critique.

Et pour cela c’est facile, il suffit d’utiliser des pinces à seins.

Il y en a des que l’on trouve en love store. L’avantage est que si l’on prend du bon matériel (pas des saletés comme on en trouve parfois sur Internet qui peuvent blesser et qui empêchent de poursuivre le Jeu), on peut parfaitement doser la contrainte.

On peut aussi utiliser des pinces à linge. Attention aux pinces en bois qui ne sont pas terribles. Il y en a de formidables en bi-matériaux. Une partie mobile et structurelle avec du plastique dur pour la solidité. Et des coussinets plus mous pour ne pas abimer le linge… et donc ses petits tétins !

Sachez que la douleur est souvent plus importante lorsque vous les retirez que lorsque vous les mettez. En effet, au bout d’un certain temps, la douleur de la pose s’estompe. Et c’est le retour de la circulation du sang dans les extrémités quant vous les retirez qui provoque la douleur.

NB : le mieux est de faire quelques expériences sur soi-même. Naturellement lorsqu’il n’est pas là. Et vous pouvez arrêter quand vous voulez, contrairement à ce qui se passera lorsque vous vous occuperez de lui.

J’aime donc bien alterner deux ou trois séances de pose et de dépose, en augmentant la durée.

Hypersensible

Croyez moi, au bout d’un certain temps, il devient hyper sensible.

Le moindre effleurement de ses petits bouts le rends dingue.

Je ne parle pas des léchouillous.

Alors des mordouillous !

J’ai besoin de l’attacher lorsque je fais ça car il se tord de plaisir et de douleur mélés.

Et je ne vous dis pas comment il essaie de briser les barreaux de sa cage. Il en a souvent la queue violette.

Quand je le sens bien mûr, j’en profite pour lui expliquer comment il doit m’obéir, ce qu’il doit faire s’il veut être délivré un jour. Je lui rappelle ce que c’était bon lorsqu’il pouvait encore jouir.

Et moi ?

J’en profite naturellement.

I est si excité et si frustré que je n’aie même pas ouvert la cage qu’il n’a pour exutoire que s’investir dans mon plaisir à moi.

Et je peux vous dire que je sais exploiter sa bonne volonté !