Privilèges

L’étendu du pouvoir de la Keyholder

Dans le Jeu, cette simple clé, celle que je porte au cou comme ici (oui c’est bien moi)

c’est un pouvoir divin, croyez-moi

Car la simple vue de cette petite clé lui rappelle que son sexe est entièrement entre mes mains. Que la seule possibilité pour qu’il puisse sortir de sa cage. Qu’il puisse espérer jouir. Ou au moins ressentir une excitation dépend totalement de moi.

Je ne fais pas qu’exhiber la clé d’ailleurs. Je lui rappelle en permanence que l’issue du Jeu dépend de mon bon vouloir. Je le taquine, je le provoque.

Il ne sait jamais quand se terminera le jeu. Moi je le sais parfois, j’ai pu d’ailleurs lui donner des indications, éventuellement une date précise. Mais une chose est sûre, je suis capable de mentir de façon éhontée, je peux renier mes promesses, je peux l’abuser comme je veux.

Alors il file doux. Il fait tout pour me satisfaire.

Et il obéit !

Décidez de tout !

C’est naturellement moi qui choisis les programmes télé, les sorties, les loisirs.

Lui ne peut faire que ce que je lui autorise. Et je suis chiche de mes largesses.

Je décide pour lui de ses vêtements. Parfois parce que j’ai envie qu’il soit élégant s’il sort avec moi. Parfois parce que j’ai envie qu’il soit gêné un maximum. Je me ris de lui faire porter une culotte de fille. Ou des collants sous son pantalon. Ou un tee-shirt franchement trop petit qui laisse dépasser son ventre.

Je décide de la commande des plats au restaurant, m’amusant de voir comment réagit le serveur. Surtout avec les serveurs d’ailleurs, mon bonhomme est encore plus humilié lorsque c’est un garçon.

Naturellement, je lui dresse la liste des tâches ménagères à effectuer. Je pourrais déléguer la tenue de la maison, me contentant de constater les résultats. Non, je prends un malin plaisir à décider de manière précise et détaillée de ce qu’il fera et dans quel ordre, même si ce n’est pas le plus rationnel. Je sais que cela le contrarie, lui qui est ingénieur. Et bien justement, je veux qu’il soit contrarié, qu’il sente peser sur lui une vraie contrainte.

J’ai appris à lui donner des ordres. A ne pas dire “S’il te plait fais moi un thé”. Non, je sais maintenant claquer des doigts et lui dire : “Un thé !”

Et cela change tout.

Moi, je me sens plus sûre, plus investie de mon pouvoir. Lui ressent mon autorité. Et je sais qu’il aime ça. Qu’il aime sentir que je suis une vraie cheffe. Qu’il a des raisons de m’obéir.

Et profiter pour vous

Ces périodes de jeu, c’est la fête pour mon corps.

Je prends des bains interminables. je lui demande me manucurer, de m’épiler, de me crémer.

J’exige des massages, de mes pieds, de mon dos, de mon cuir chevelu.

Et naturellement cela dégénère. Comment pourrait-il en être autrement avec cet être qui vous coucoune, qui vénère votre corps, qui vous vénère vous.

J’adore lui poser un collier autour du cou pour pouvoir le guider.

Je lui fais parcourir l’ensemble de mon corps, suçoter mes orteils, les prendre en bouche comme des petits pénis. Essayez, c’est divin. Une zone érogène dont personne ne parle mais qui me rend trempée du minou.

Et puis je lui fais faire tous ce que je veux.

Il y a longtemps, je ne savais pas parler clairement de mes désirs. J’hésitais à lui faire insister sur telle ou telle zone. Je n’osais pas lui demander de passer 10 minutes sur la même partie de mon corps jusqu’à ce qu’elle se mette à être en feu et m’enflammer l’ensemble de mon corps.

J’étais timide… Mais ça c’était avant.

J’ai découvert des trésors de plaisir dans des endroits que je n’osais pas lui demander de solliciter auparavant : l’arrière de mes genoux, mes aisselles, les lobes d’oreille, mon périnée, mon petit trou…

Lorsqu’il est en cage, je me sers de lui comme d’une télécommande. Surtout lorsque je l’ai revêtu d’une cagoule. Je ne vois plus son visage. Ce n’est plus un humain, c’est une machine à sexe. C’est un robot à plaisir.

Le plus extraordinaire des sex-toys !