Booster sa libido
Pour moi, c’est un déclic
Il y a une chose qui est sûre, c’est que mettre sa queue en cage décuple ma libido.
D’abord, je crois que c’est une question de pouvoir.
C’est moi qui possède la clé. C’est moi seule qui peux délivrer sa pauvre petite queue. C’est moi seule qui peux lui autoriser une jouissance.
Il devient d’un seul coup l’homme parfait, obéissant, attentionné, attentif à mes désirs.
Je peux me décharger des tâches ménagères et je peux donc me consacrer à moi-même. Penser à moi. M’occuper de moi. Envisager ce qui me fait plaisir plutôt que ce qu’il faudrait que je fasse.
Et rien que cela me permet de penser à mon propre plaisir plutôt, comme on nous l’a inculqué à toutes, de penser au plaisir des autres. Des hommes notamment.
Rêveries
Et lorsque je pense à moi-même sans être prise par les préoccupations du quotidien, bizarrement, ce n’est pas aux vacances que je pense, ce n’est pas le soin de mon corps auquel je pense (épilation, gommage, etc.), non, ce à quoi je pense c’est au sexe !
Mon esprit est envahi de songes tous plus coquins les uns que les autres.
Et ce n’est pas forcément à lui auquel je pense. Il m’arrive de fantasmer sur ce mec baraqué que je vois à la télé, sur un collègue de travail… et même, je dois l’avouer, parfois sur une femme.
Je ne suis pourtant pas lesbienne. Mais je dois admettre que la douceur de mains féminines sur ma peau, des caresses attentives et subtiles d’une jeune femme, des léchages de mon corps, de mon sexe par une agile langue féminine me mettent en transe.
J’ai ce qu’il faut sur place
Et ce qu’il y a de bien, c’est que j’ai tout ce qu’il faut à portée de main.
Oh, pas une vraie femme car je ne suis pas prête à passer le cap, mais lui, mon petit mari qui est à ma disposition et qui vaque à ses occupations de ménage à mille lieues de se douter de ce à quoi je pense.
Il me suffit de le siffler et il accourt vers moi, espérant que je m’occupe de lui comme un petit chien en manque.
Mais c’est de moi dont je veux m’occuper.
Je lui demande un massage, et bientôt beaucoup plus.
Je ferme les yeux et me laisse aller à poursuivre mon fantasmes. C’est une femme qui me caresse doucement, c’est une femme qui me mordille les tétons, c’est une douce bouche féminine qui descend en frôlant mon corps vers ma chatte en feu. C’est une langue de femelle qui fait hurler la femelle en moi.
Et point de queue poilue pour contrarier mon rêve éveillé, sa queue à lui est enfermée et ne peut m’envahir de sa présence.
Je savoure pleinement et sans contrainte cette illusion jouissive.