Gentille ou pas gentille ?
Jouer
Finalement, une des choses que j’aime le plus dans la chasteté contrôlée, c’est le pouvoir de jouer avec son esprit au travers de son corps.
J’adore le mettre en position de vulnérabilité, attaché, les yeux bandés, éventuellement avec des bouchons d’oreille et peut-être un bâillon.
Sans possibilité d’anticiper, sans possibilité de s’exprimer, il n’est plus qu’un corps.
Je peux alors retirer la cage et jouer.
La torture de la faible stimulation
Je m’amuse à le faire bander en lui susurrant des idées cochonnes à l’oreille. Je le caresse très lentement sur le corps avec un plumeau, m’amusant de le voir se rapprocher lorsque je touche ses parties sexuellement sensibles ou au contraire fuir lorsque ça le chatouille.
Puis je prends du lubrifiant, j’en enduis mon doigt et je m’amuse à frotter tout doucement son frein. C’est drôle, ses réactions ne sont pas les mêmes selon que je monte ou que je descende. J’expérimente. Je vais un peu plus vite. J’observe son souffle qui se fait plus rapide. J’arrête complètement et j’observe sa queue qui s’agite toute seule dans le vide.
Et je reprends lorsqu’il est calmé. Je reprends vers l’orgasme mais je m’arrête juste à temps.
Puis je le laisse quelques minutes sans rien faire jusqu’à ce que sa queue devienne à moitié molle.
Et je reprends….
La conclusion
Selon qu’il a été gentil et méritant. Selon que je suis vraiment gentille ou pas. Ou que je suis carrément sadique ce jour-là.
Je peux le faire retourner en cage en m’amusant de sa déception, voire de son désarroi.
Je peux lui procurer l’orgasme le plus ruiné possible en me donnant comme objectif que sa semence s’écoule sans même gicler (j’ai un secret, j’essaie de la faire jouir alors qu’il n’a pas encore réussi à rebander pleinement).
Je peux aussi, pour les grands jours, le prendre en bouche et lui faire une pipe d’enfer.
Mais je peux aussi choisir de jouir avec lui en le chevauchant sauvagement. je dois dire que tout ça m’excite au plus haut point.
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