Femme puissante

Parader

J’adore ce dildo que je porte sur mon harnais. Il est de bonne taille et il impressionne mon chéri.

Je m’amuse à parader dans la chambre avec ma queue qui se balance devant moi.

Je le fais s’agenouiller par terre et je me rapproche de lui. Je le biffle – c’est comme une gifle mais avec une bite haha !

Il n’y a pas que lui qui peut jouer avec un engin menaçant. D’autant que le sien d’engin est recroquevillé dans sa cage. Il est tout sauf menaçant. Je dirais même qu’il est pathétique.

Je le lui dit, je me moque de son petit bigorneau dans sa coquille. Je compare la taille et il ne fait pas le fier.

Son visage est à la bonne hauteur. Je le parcours de l’extrémité de mon engin. Je ne devrais rien sentir puisque je n’ai pas de terminaisons nerveuses à cet endroit mais ses réaction, ses grimaces, ses reculs me font sentir l’engin comme s’il était vivant, comme s’il était moi.

Pénétrer

Je lui enfonce dans la bouche afin qu’il sache ce que cela fait d’avoir une bite dans le fond de la gorge. Je lui dis de bien la sucer pour qu’elle soit lubrifiée lorsque je le pénétrerai.

Vient le moment d’investir son fondement.

Je le fais mettre sur le dos, les jambes en l’air avec un oreiller sous les fesses. J’adore pouvoir voir son regard lorsque je le prends.

Je le prépare un peu, je rajoute un vrai lubrifiant, je me présente devant sa porte.

Et je rentre lentement mais fermement, un peu comme lorsqu’on fait une piqure. Pas d’hésitation, de la constance dans la poussée.

Sa petite rondelle résiste mais elle finit par se distendre devant l’avancée de ma queue. Je rentre, je pénètre, je l’envahis.

Il râle au départ de douleur. Puis il geint lorsqu’il s’habitue à ma présence.

J’entreprends alors de longs va-et-vient. Jusqu’au fond. Puis je ressors presque. Puis jusqu’au fond. Et je recommence.

Je ressens avant tout un sentiment de puissance incroyable. Il est à moi. Je suis en lui.

Toute ma chatte en est ébranlée. Je sens que je me liquéfie. Je sens que mon sexe est en feu. Je sens mon petit bouton qui n’en peut plus de ne pas être sollicité exactement comme je le voudrais. Je suis presque au bord de la jouissance mais la position est quand même acrobatique, je reste sur la rive.

Récompense

Je me retire alors.

Je me retourne, viens présenter ma chatte au-dessus de son visage. Je lui ordonne de me lécher.

Je peux voir ma bite artificielle s’agiter devant son visage tandis qu’il manie la langue.

Je vous jure que ma jouissance est extrême !