Un jeu, du pouvoir et du plaisir

L’incertitude

Vous me connaissez un peu maintenant. J’adore le maintenir dans l’incertitude, c’est la clé de mon pouvoir sur lui.

J’ai déjà expliqué comment, lorsque vous jouez, vous n’avez aucun intérêt à lui donner les règles du Jeu. Parce que s’il les connait, alors il peut vouloir vous manipuler, y compris en échouant et en vous provoquant pour que vous le punissiez. Il est alors un souminateur. C’est ce que je racontais dans ce post

J’adore donc le déconcerter, abolir ses espoirs ou ses certitudes.

Je vous avais raconté plusieurs fois où il a pour le moins été surpris, comme dans ce post

Terrible leurre

Aujourd’hui, je vous raconte un autre Jeu.

Il était en cage de chasteté depuis une huitaine de jours. Il n’en pouvait plus, le pauvre.

Comme il voulait à tout prix être libéré, il faisait tout pour me plaire et j’étais traitée comme une Princesse.

Il attendait donc sa récompense. Mais moi, je ne voulais pas qu’il croie qu’il pouvait maîtriser ma volonté. J’ai donc décidé d’être injuste. Presque méchante !

Pourtant, cela a bien commencé pour lui : je lui ai annoncé que, comme il avait été parfait ces derniers jours, il aurait le droit d’être libéré et de pénétrer en moi avec sa queue.

Je l’ai libéré de sa cage, sa bestiole a rapidement entrepris de se déplier et de prendre de la vigueur. Je l’ai aidée en la caressant avec du lubrifiant, sa queue était raide et violette d’impatience.

Cruelle amazone

Je l’ai alors poussé sur le lit pour qu’il se retrouve sur le dos.

J’étais toute excitée du tour que j’allais lui jouer.

Parce que j’avais décidé que moi seule jouirais !

Je lui ai interdit de bouger et je l’ai forcé à garder ses mains croisées, doigts entrelacés derrière sa tête.

J’ai commencé alors à me caresser les seins langoureusement tandis qu’il me regardait, les yeux exorbités. Je sentais sa queue palpiter en moi.

Il tentait de bouger son bassin mais je lui ai interdit de le faire en le regardant d’un air autoritaire et en lui pinçant cruellement les tétins.

Puis, j’ai saisi mon Magic Wand et je me suis donnée du plaisir de façon totalement égoïste.

Vous imaginez bien qu’il était révolté; qu’il essayait de ruer. Mais je l’ai contenu et il n’a pas réussi à jouir.

Moi, par contre, je crois que mon plaisir a été décuplé par sa frustration.

Après, j’en ai beaucoup ri, lui moins…

Mais j’ai été très gentille deux jours plus tard. Il ne faut pas qu’il devienne trop désespéré.