Torturer son mental
Emprise mentale
La chasteté masculine contrôlée ou CMC, ce n’est pas du BDSM avec les accessoires de latex, les instruments de torture, la douleur.
Bon, bien sûr il arrive que dans le Jeu je puisse lui faire sentir physiquement mon emprise.
Que ce soit par des contraintes comme le garder attaché dans le noir dans la chambre. Ou au coin la tête contre le mur avec une feuille de papier entre son front et le mur qu’il ne doit pas laisser tomber. Je pense que c’est important dans ces périodes-là de le laisser réfléchir de longs moments sur son sort sans qu’il soit distrait par son smartphone, le télé ou tout simplement le spectacle de mon corps.
Ou encore en usant sur lui de punitions physiques comme des fessées ou plus facilement pour ne pas se faire mal aux mains avec un martinet, un paddle (j’ai raconté ici la technique que j’avais appliquée pour une punition un peu sévère mais surtout efficace) ou si je veux être très sévère une cravache ou une simple cuillère en bois de la cuisine.
Mais je me refuse à me déguiser en dominatrice en cuir noir ou rouge.
Mon emprise, elle se fait autrement.
C’est une emprise sur son cerveau au travers de l’emprise que j’ai sur sa queue.
Car la clé est que sa queue est enfermée, qu’il ne peut jouir, ni même bander, ni même la toucher que si je le veux.
Et croyez-moi, au bout d’un certain temps, le fait de ne même pas pouvoir toucher son petit engin devient une obsession. Je le vois bien lorsque je procède à la toilette de son petit engin. Même lorsque je suis là pour l’observer, qu’il a interdiction d’approcher sa queue lorsqu’il se lave le reste du corps, il ne peut s’empêcher de faire de misérables tentatives pour essayer de tenter un contact avec ses mains pour la sentir.
Mais je veille à ce que cela n’arrive jamais tout le temps du Jeu et c’est moi seule qui procède à la toilette de son bigorneau en en dépliant chaque plis, en le décalottant. J’adore jouer avec son ou plutôt ce qui est devenu MON engin.
Toute la journée, je vois bien comment son esprit est obnubilé par son engin.
La provocation de ma jouissance
Imaginez alors ce que cela lui fait de me voir jouir, lui qui est enfermé depuis parfois de longs jours et qui est intensément frustré.
Alors j’en joue.
J’adore le mettre en position de me voir me donner du plaisir.
Et sans que lui y soit pour quoi que ce soit, car je sais bien que le fait de me faire jouir lui-même est une sorte de succédané à sa propre jouissance.
Non, je veux qu’il soit totalement passif. Qu’il ne puisse que me regarder totalement impuissant. Il m’a avoué que c’était ce qu’il y avait de plus dur pour lui. Et je dois avouer que, sachant cela, mon plaisir en est décuplé.
Suis-je sadique ? Non si l’on parle du plaisir de donner de la douleur physique. Une peu j’avoue lorsque je le torture mentalement comme ça.
Magic Wand
J’avais déjà expliqué ici comment le Magic Wand peut être incroyablement efficace mais que justement il ne faut pas l’utiliser trop souvent sous peine de s’insensibiliser.
Mais en même temps son incroyable efficacité est parfaite dans les circonstances où je veux lui montrer comment je peux me passer facilement de son pénis.
A peine quelques dizaines de secondes et je pars dans un orgasme waouh alors qu’il n’y peut rien.
C’est incroyable comment cela lui attendrit le mental.
Et je peux pousser plus loin la cruauté. S’il était dans une période où il était en cage depuis longtemps, je peux faire semblent de vouloir lui apporter une récompense en lui accordant un orgasme.
Mais le plus pathétique des orgasmes, un orgasme ruiné en cage.
Imaginez, sa petite bestiole qui n’arrive même pas à bander et qui, sous les vibrations diaboliques de mon engin lancé à fond, se met à couler pathétiquement ce sperme qu’il a d’habitude fierté à voir jaillir.