Le posséder !

Quelques accessoires simples

Pour asseoir votre pouvoir sur lui, pour qu’il se sente totalement à vous, il suffit de quelques accessoires.

De quoi l’accrocher

Lorsque j’ai envie de lui faire sentir toute sa vulnérabilité vis-à-vis de moi, j’aime beaucoup l’attacher les bras levés à un point haut.

De la sorte, l’ensemble de son corps est totalement offert à mes caprices sans qu’il puisse user de ses bras pour se défendre.

J’utilise souvent des menottes de porte comme celles-ci que l’on peut emporter partout, y compris dans un hôtel par exemple :

Mais l’inconvénient est qu’on n’a qu’un face de lui offerte.

Dans notre maison de campagne, je profite de la cage d’escalier pour faire descendre une corde de la rambarde du premier étage pour y accrocher ses menottes. Je peux ainsi tourner autour de lui et accéder à absolument toutes les parties de son corps.

De quoi l’aveugler

Il y a naturellement le traditionnel masque de type avion.

Veillez à bien le choisir. Ce type de masque présente parfois le petit inconvénient de permettre de voir ou du moins de distinguer ce qui se passe en bas. Il peut distinguer le mouvement de vos pieds lorsque vous vous approchez ce qui ôte l’effet de surprise.

Personnellement, comme je l’avais évoqué dans ce post, j’aime bien aussi les cagoules intégrales qui masquent totalement la vue.

De quoi le faire taire

Rien que de plus énervant, lorsque l’on veut se concentrer que d’être distraite.

Lorsque je veux lui faire sentir mon emprise totale, je ne veux pas qu’il puisse protester. Et je veux qu’il aie le sentiment, justifié, qu’il ne pourra pas m’arrêter aussi loin que je veuille aller. C’est assez paniquant pour lui, même s’il sait que normalement je devrais être raisonnable.

Je lui mets généralement un bâillon-boule. C’est un accessoire fait pour, qui évite tout accident grâce à des trous qui permettent la respiration, même si le nez est bouché.

Mais je peux aussi choisir de lui insérer ma culotte dans la bouche et de la maintenir avec mon collant passé derrière sa nuque. Sur le plan symbolique c’est très fort.

De quoi l’empêcher d’entendre

Pour qu’il puisse encore moins anticiper ce que vous allez lui faire, l’idéal est de compléter la panoplie par des bouchons d’oreille de type boules Quiès par exemple.

C’est assez difficile de les lui mettre vous-mêmes. Personnellement, je les lui fais mettre lui-même dès le départ de la séance.

Vous verrez que, privé de l’ouïe, il sursaute de façon très amusante lorsque vous vous approchez de lui sans qu’il le sache

Jouer !

Maintenant que ses mains sont attachées en l’air, qu’il ne peut strictement rien voir, qu’il ne peut rien entendre, qu’il ne peut se défendre, qu’il ne peut protester, voici venu le moment de jouer.

Personnellement, j’adore laisser de longs moments de pause. J’attends qu’il se détende – au début il est toujours crispé – et je m’approche subrepticement.

Je lui pince un téton.

Ou je lui caresse les fesses.

Ou je lui mors l’oreille.

Ou je lui prends le paquet dans ma main pour serrer.

Ou je lui lèche langoureusement l’aine en terminant sur son petit gland si sensible entre les barreaux.

Entre chaque action, je reviens me poser sur mon fauteuil, ou je quitte carrément la pièce. Il m’attend sans savoir ce qui va arriver.

Soudain j’ai envie d’être sévère, je lui rappelle ses manquements de la semaine et je lui annonce un nombre de coups de cravache que je vais lui appliquer. Je compte à haute voix et comme par hasard, je me trompe, je reprends à zéro…

Puis je suis gentille, je prends de la crème, je lui enduis les fesses et les caresse. Je termine dans son petit trou. L’instant d’après, je lui pince furieusement les tétins.

Une bonne demi-heure de ce traitement et, s’il faisait un peu trop le malin, il est redevenu doux comme un agneau, attentionné, obéissant.

Et le plus amusant est qu’il va me remercier de lui avoir consacré tant de temps et d’attention.

Il aime quand j’abuse !