Expérience
Expérimenter
Je sais qu’il est un scientifique dans l’âme, moi aussi.
Je sais qu’il aime bien les expériences, moi aussi.
Je sais qu’il aime bien être dominé.
Pas moi !
Logiquement, c’est moi qui fais des expériences sur lui.
Où passe le sang ?
Lorsque je lui donne une fessée j’ai remarqué que, contrairement à ce que l’on pourrait penser, il est plutôt excité et il a tendance à vouloir bander.
C’est contre-intuitif : d’une part, il devrait se sentir humilié, avoir mal et donc plutôt débander.
D’autre part, la fessée attire le sang sur les fesses – la preuve, elles rougissent – donc le sang devrait manquer vers sa queue pour lui permettre de bander.
Bon, ça c’est de la théorie.
D’abord, il est un peu maso et soumis. Donc se faire fesser, particulièrement si je me mets cul nu sur mes genoux comme un vilain garçon, est plutôt excitant pour lui.
Ensuite, la quantité de sang qui lui arrive dans les fesses est trop faible pour influer sur le remplissage de ses corps caverneux.
Rigueur expérimentale
Du coup, je me suis dit que je pourrais faire une expérience plus rigoureuse, dans tous les sens du terme.
Rigoureuse que le plan scientifique. J’allais utiliser un protocole reproductible pour essayer différents degrés d’intensité.
Un instrument plus fiable que le plat de la main. J’ai utilisé un paddle.
Et une position reproductible également. Les deux mains attachées à des menottes de porte. -J’avais écrit une partie du récit Locktober sur ce thème des menottes de porte ici)
De cette façon, ses fesses et le haut de ses cuisses sont parfaitement disponible.
J’ai ouvert sa cage, je lui ai libéré la queue et j’ai commencé à appliquer 5 coups bien à plat sur ses globes.
Pour la rigueur de l’expérience, j’ai pris 10 cm d’élan exactement en y allant franchement.
Il n’a pas crié, n’a pas cherché à s’échapper et j’ai pu constater que sa queue avait une belle vigueur.
J’ai recommencé 5 coups avec 20 cm d’élan. Peu de modifications. Ses fesses ont commencé à rougir à peine. Il s’est un peu débattu. Mais l’érection était toujours là.
A 30 cm, j’ai obtenu le premier petit cri. Et après 5 coups, les fesses étaient vraiment rouge, avec un peu de relief au niveau des coups. Il sursautait franchement. Mais la bandaison n’avait pas faibli.
J’ai donc essayé 40 cm. Et là, l’effet a commencé à devenir vraiment intéressant. Il me suppliait d’arrêter (mais sans toutefois utiliser le mot de sécurité). Ses fesses sont devenues écarlates, à la limite du violet à certains endroits. Et surtout, sa bandaison a cessé. Il avait même un zizi tout riquiqui. Tout contracté, comme lorsqu’il sort de l’eau froide.
J’ai donc prouvé scientifiquement que lorsque les fesses deviennent suffisamment rouges, le sang se retire de la queue.
C’est ce que j’avais dit dans ce post :
Joke !
Bien sûr c’est une blague.
Ce n’est pas vraiment une expérience scientifique et l’effet n’est pas celui de concentrer le sang dans les fesses pour l’empêcher d’aller dans sa queue. Il doit avoir au moins 6 litres de sang et cela ne joue pas.
Bien sûr, c’est la douleur qui joue.
Et lui, comment l’a-t-il pris ?
Après que je lui ai appliqué amoureusement une crème apaisante, il m’a avoué que cet instrument était vraiment sévère et qu’il avait eu vraiment mal. Mais qu’il n’avait pas voulu dire le mot de sécurité parce que je n’étais pas allée au-delà de ce qu’il pouvait supporter. Et qu’il était curieux de savoir ce qu’il serait capable de supporter.
Pendant le câlin qui a suivi, je me suis dit qu’il serait intéressant de faire d’autres expériences…