Hypocrisie

La keyholder dominatrice dans le couple FLR console son mari soumis avec le sexe enfermé dans une cage de chasteté

Hypocrisie ?

Comme vous le savez, nous sommes un vrai couple et nous jouons vraiment. C’est ce qui fait le ciment de notre couple. C’est ce qui fait que nous nous renouvelons tout le temps. C’est ce qui fait que l’on est toujours amoureux l’un de l’autre.

Mais dans un jeu, et même et peut-être surtout dans LE JEU, celui de la chasteté masculine contrôlée, jouer signifie aussi jouer un rôle.

Nous sommes actrice et acteur de notre Jeu.

Lui peut parfois surjouer son rôle de mari soumis.

Moi, j’avoue parfois surjouer mon rôle de dominatrice du couple.

Mais parfois c’est un peu le contraire…

Ivresse du pouvoir

Parce que, je dois l’avouer, avoir le pouvoir, me décharger des tâches ménagères, décider et surtout jouir à n’en plus pouvoir mais, c’est quand même fantastique.

Alors quand le le console, quand le le câline, quand je le plains, quand je compatis, je ne suis pas toujours complètement sincère. il y a au fond de moi cette petite voix qui me dit : “profites en !”

Et j’en profite. Et j’avoue que c’est parfois un peu l’hypocrisie qui guide mon attitude envers lui.

Réciprocité

En même temps, je sais bien qu’il n’est parfois pas toujours franc du collier.

Lorsque je suis rentrée de déplacement l’autre jour, il m’a fait la fête quasiment comme l’aurait fait un petit chien avec sa maîtresse. (sauf qu’avec la cage, sa queue à lui ne remuait pas vraiment haha !)

Mais était-il vraiment content de me revoir moi ou était-ce la clé qu’il attendait, celle qui pourrait le libérer ?

Il faut dire que j’avais été vache avec lui, je suis partie alors que cela faisait 6 jours qu’il était enfermé et qu’il espérait bien que je le libérerais avant de partir ou qu’au moins je lui accorderais un orgasme.

Pendant ces 5 jours de déplacement, nous avons beaucoup échangé. SMS, Sextos, etc.

J’ai même organisé un petit Zoom pour lui montrer que j’avais emporté avec moi mon petit engin mignon, celui avec des antennes roses. Et je lui ai démontré que ce n’était pas pour la déco.

Du coup, il était super chaud lorsque je suis rentrée à la maison.

L’a-t-il exprimé comme ça ? Non !

Il était attentionné, il voulait tout savoir de comment cela s’était passé, qui j’avais vu, comment s’était passée mon intervention (même si c’était une toute petite intervention dans un sous-groupe).

Il a voulu défaire mes bagages, ranger le linge sale…

Il m’a montré qu’il avait tout acheté pour me faire un bon petit plat pour le soir.

Moi je savais bien ce à quoi il pensait en réalité. C’était sa queue qui dictait tout. Je le connais suffisamment.

Alors, j’ai joué le jeu. Je lui ai raconté beaucoup de choses (en m’amusant un peu à exciter sa jalousie quand même).

Je l’ai consolé du fait que j’avais dû le laisser frustré avant de partir – que je le regrettais sincèrement (tu parles ! ) mais c’était parce que le calendrier tombait mal…

Le soir, on a pris l’apéritif, il n’en pouvait plus et me regardais comme un chien regarde un os. Après le repas idem alors que j’avais mis une série.

Mais je n’ai pas provoqué quoi que ce soit de sexuel. Et je n’ai pas cédé à ses demandes muettes. Je l’ai consolé avant de dormir en lui disant que je l’aimais, que je comprenais qu’il n’en puisse plus d’attendre. Mais que j’étais fatiguée et que je voulais seulement dormir.

“Promis juré, lui ai-je dit, si tu es aussi gentil demain, il se pourrait que cela se termine bien pour toi.”

“Ou pas…” me suis-je dit en mon for intérieur

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