Tentatrice

keyholder en 68 avec un womanizer se masturbant au-dessus du visage de son mari en cage de chasteté

Le pouvoir de la tentation

J’adore me faire jouir devant lui alors qu’il est en cage

Je ne sais pas ce qu’il en est pour vous mes sœurs keyholders mais la sensation de le sentir devant vous, incroyablement jaloux du plaisir que vous vous donnez est assez unique.

Le savoir, et le voir, excité à mort, bridé par sa cage dont sortent des bouts de chair gonflés entre les barreaux. C’est pour moi un puissant aphrodisiaque

Je ne suis pas sadique pourtant. Mais je dois avouer que c’est un frisson supplémentaire.

Et j’adore donc m’exhiber. Exhiber ma chatte dégoulinante. Me laisser aller à ces mouvements animaux provoqués par l’orgasme qui me faisaient honte quand j’étais jeune mais que maintenant j’assume pleinement. De même que mes gémissements et mes cris.

Et son regard !

Un regard à la fois désespéré (cela se comprend) et en même temps incroyablement perçant, comme s’il voulait rentrer dans mon moi lorsque je prends du plaisir.

Parfois, j’en ai presque honte de le voir malheureux.

Et en même temps, je me dis que si le spectacle de ma jouissance lui était si insupportable, il fermerait les yeux.

Mais pas du tout !

Il reste au contraire les yeux écarquillés, fixant tour à tour les mouvements de ma main, le ballet de mon sex-toy et mon regard parfois.

Punition

Du coup, paradoxalement, c’est le priver de sa vision qui est une punition.

Même si le spectacle de mon plaisir – pour lui qui ne peut en avoir, enfermé qu’il est – doit être tellement frustrant, il préfère me voir plutôt que de fermer les yeux.

Alors je sais le torturer encore plus.

Je l’attache (il faut pouvoir maîtriser la bête qui est en lui). Je lui bande les yeux.

Je me mets en position de 68 (voir le post qui est consacré à cette position ici)

Et je prends mon Womanizer dont les vibrations vont se déployer juste au-dessus de son visage.

Je ne prétendrai pas comme on lit dans la mauvaise littérature érotique que mon jus va dégouliner sur lui.

Mais il aura à la fois le son, les odeurs, les mouvements de mes cuisses autour de sa tête. Et mes seins et tout mon corps sur son torse lorsque je m’effondrerai enfin après avoir joui.

Je sais qu’il déteste. Et je dois avouer que moi j’aime !

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