Power
Tant de pouvoir dans cette main
Tout est résumé dans cette photo des rapports entre mon mari et moi durant les Jeux.
Je le soutiens, c’est moi qui porte son précieux paquet. C’est moi qui ai la charge.
En même temps, ma main peut se resserrer d’un seul coup et il pourrait avoir terriblement mal.
Mais je reste dans la délicatesse. Poin besoin d’exagérer sa puissance lorsqu’elle est si évidente. C’est comme la dissuasion nucléaire, on ne l’utilise jamais parce qu’elle est faite pour rester dissuasion.
Cela ne m’empêche pas de lui faire subir quelques sévices physiques, des fessées, des séances d’impact qui peuvent parfois être un peu sévères, des punitions mentales, certaine humiliations publiques ou privées. Mais jamais au-delà de ce qui est consensuel car nous sommes avant tout un couple et qu’un couple cela doit durer.
Il reste que ce qu’il aime en moi c’est la sensation d’être entre mes mains.
Et que ce que j’aime c’est cette sensation de le tenir par les c***
La cage
Et la cage ?
La cage c’est pour lui faire sentir et pour ressentir moi-même que ce pouvoir n’est pas éphémère.
Que lorsque je lâche son paquet et que je lui permets de le ranger dans son pantalon pour sortir, pour aller travailler ou pour faire le ménage, il reste sous ma dépendance.
Il est loin de moi et pourtant c’est ma main qui l’enserre au travers de la cage.
Il est loin de moi, il semble libre, il regarde les autres femmes, il a éventuellement du désir.
Qu’importe, c’est à moi qu’il pensera lorsque sa bestiole commencera à se manifester. Son désir éventuel sera immédiatement redirigé vers moi, sa femme et sa maîtresse.
