Princesse !
A mes conditions
Au début, je n’aimais pas beaucoup les accoutrements type BDSM, le cuir, le latex, le vinyle brillant.
Je n’aime toujours pas tout ce qui est inconfortable. Je joue au Jeu. mais je joue avec mes règles.
C’est lui qui aimerait bien me voir en caricature de dominatrice.
Eh bien, non !
Je déteste les talons trop hauts, hors de question que je me perche sur des talons aiguille.
Et puis, cela m’amuse beaucoup de le contrarier. Cela lui montre qui est la cheffe
C’est pour moi les symboles
Comme par hasard, la dernière fois que je me suis accoutrée en dominatrice, je lui ai imposé un bandeau pour l’aveugler.
J’avais pourtant accepté qu’il m’aide à choisir une tenue sexy un peu BDSM sur Internet.
Oh, pas un site spécialisé trop cher, pour l’usage que j’en ferais…
Alors, j’ai pris une jupe en vinyle noir ultra courte avec un semblant de jarretelles. Un harnais de torse qui met en valeur les seins. Il était comme fou et a guetté le facteur jusqu’à ce que l’on soit livrés.
C’est lui qui a réceptionné le colis. Naturellement, il piaffait d’impatience mais il avait interdiction de l’ouvrir.
Je l’ai fait lanterner plusieurs jours. Puis j’ai déballé le paquet devant lui. J’ai déplié le harnais, l’ai positionné sur mon pull pour voir. Puis j’ai sorti la jupe avec laquelle j’ai joué un peu devant lui. mais j’étais toujours habillée très sage.
C’est alors que je l’ai envoyé chercher la boite à jouets.
Il a dû se déshabiller. je ne sais pas pourquoi mais il a fait fissa, il était tout émoustillé.
Seulement, la première chose que j’ai faite a été de lui poser un bandeau.
J’ai ensuite installé son collier de chien. Puis je lui ai posé les menottes que j’ai attachées derrière sa nuque sur l’anneau du collier. J’ai laissé un peu de jeu pour qu’il ne soit pas trop inconfortable.
Puis j’ai attaché un anneau à sa queue que j’ai relié à une laisse.
Pauvre chéri !
Ce n’est qu’ensuite que j’ai commencé à me déshabiller. Au fur et à mesure de mon strip-tease et de mon habillage, je commentais. Je retire ceci…, je mets celà…
Il était furieux et en tremblait. J’ai dû l’attacher au radiateur à un moment.
Puis je me suis contemplée, le tenant par la laisse. Lui complètement à ma merci. Moi en dominatrice. Même si ce que j’avais acheté était un peu de la camelote, je ne le voyais plus.
Je ne ressentais qu’un sentiment très fort de puissance. Je me sentais séduisante. Je me sentais désirable.
Et le pire était que mon pauvre mari ne pouvait même pas voir. alors que moi je savourais sa vulnérabilité. Il ne pouvait pas se défendre. il geignait de ne rien voir
Conclure
Pour éviter ses plaintes j’aurais pu lui poser un bâillon.
Mais je n’aurais pas pu profiter de sa langue.
Alors, je l’ai entrainé dans notre chambre. Je l’ai poussé sur le lit pour qu’il tombe sur le dos. Je me suis accroupie sur lui.
La jupe toute courte ne gênait pas le travail de sa langue.
Mmmm !
Et lorsque j’en ai eu fini. Je l’ai laissé dans le noir, je suis allée aux toilettes. je me suis déshabillée, ai remis mes habits de tous les jours. Et ce n’est qu’à ce moment-là que je l’ai libéré.