Jeu cruel

Attendre le bon moment

Pour pouvoir jouer avec lui. Avec son mental comme avec son sexe. Avec son sexe comme avec son mental. Tout est lié dans la chasteté masculine contrôlée. Il faut savoir attendre le bon moment.

Celui où il a passé la période de résilience masculine : même pas mal.

Celui où il a commencé à vous interroger sur la suite.

Celui où il devient vraiment impatient.

Celui où il n’en peut plus et a ravalé toute sa fierté de male pour vous supplier.

Inventer une situation difficile

Il a besoin de jouir. BESOIN !

C’est le moment. Attendez qu’il réussisse quand même quelques épreuves un peu vicieuses que vous lui aurez imposées. Faire le bricolage pour lequel il procrastine depuis des lustres. Aller acheter des préservatifs extra small à la pharmacie. Tout ce qui vous passe par la tête et dont vous considérez que c’est une vraie épreuve pour lui.

Il a réussi vos épreuves. Il a alors nettement l’impression d’avoir mérité sa libération.

Et c’est là que vous allez inventer un jeu amusant qui concilie contrainte mentale, contrainte physique et dilemme psychologique.

Un jeu amusant que j’ai fait avec lui

Il attendait donc de pouvoir jouir après une semaine pendant laquelle je l’avais bien chauffé et après lui avoir imposé des épreuves qui lui avaient fait “mal au cul” comme il me l’avait dit avec une vulgarité qui trahissait bien chez lui son exaspération.

Il pensait donc vraiment mériter un orgasme.

Et là, je lui ai imposé une épreuve supplémentaire. J’en ai le droit, c’est moi la Princesse !

Avant de le délivrer, le soir au moment de l’apéro, je suis allée ressortir les moufles que j’avais préparées. Ce sont des moufles à lui très épaisses pour faire de la haute montagne et du glacier. Avec juste le pouce libéré pour la pince dont on a besoin avec des bâtons et un revêtement de cuir épais à l’intérieur pour éviter l’usure.

Inutile de vous dire que la main ne sent rien avec ça.

J’ai préparé devant lui un timer, celui que l’on a tous dans notre smartphone. Et je l’ai réglé sur 30 secondes.

Je lui ai fait mettre les moufles et je l’ai prévenu qu’il aurait 30 secondes exactement, pas une de plus pour arriver à se faire jouir. Après 30 secondes exactement, on retournerait en cage quel que soit le stade où il en serait.

Il m’a regardée comme si j’étais une diablesse. Il a voulu protester mais je lui ai fait un CHUT qui lui a cloué le bec.

Et dès que j’ai retiré la cage, son sexe était encore presque mou, je l’ai laissé se débrouiller.

Je pense que ce n’est pas facile de faire du travail fin avec des moufles; Rien que pour se décalotter, il a perdu entre 5 et 7 secondes précieuses.

Il a ensuite adopté un rythme frénétique pour essayer de partir, mais le temps était manifestement insuffisant.

La sonnerie a retenti. J’ai pris sa main pour arrêter tout mouvement. Je l’ai enserré dans mes bras pour discuter avec lui.

Tu vois mon chéri, tu n’avais pas tant de besoin que ça autrement tu serais parti très vite.

Naturellement il a chouiné, m’a dit que j’étais injuste. Je l’ai caressé gentiment et je lui ai expliqué que tout n’était pas perdu. Que puisqu’il n’était pas suffisamment excité, il fallait prolonger l’enfermement et que je lui laisserais autant de tentatives qu’il voudrait. Mieux, je serais magnanime, je lui laisserais lui-même apprécier quand il pourrait être libéré.

Les conditions seraient les mêmes pour une prochaine libération : les moufles, le timer. Mais le temps imparti serait augmenté de 10 secondes pour chaque jour de chasteté qu’il endurerait en plus.

Tu vois mon amour, non seulement tu auras plus de temps mais en plus tu devrais être nettement plus sensible. Bien sûr il faut être prudent et bien calculer, si tu échoues comme aujourd’hui, on remet en cage et je te poserai la même question. Cela peut durer des mois, hihi ! Alors, tu choisis quoi comme temps d’enfermement supplémentaire ?

Il avait son air de chien battu. Il a réfléchi longuement et, la mort dans l’âme m’a dit : Cinq jours Princesse.

Il est formidable mon mec, il faut dire qu’il est ingénieur.

5 jours après, en une minute et 20 seconde, il est parvenu pile poil à faire cracher son bigorneau.

Mais il m’a avoué plus tard qu’il avait angoissé pendant ces 5 jours car il avait pris un pari qu’il n’était pas sûr de réussir.

Conclusion

Pour nous les keyholder, ce type de jeu est extrêmement fécond.

Lui est complètement soumis à des règles que vous lui imposez, et plus ces règles sont à la limite de l’absurde plus elles sont idéales.

Cela concerne autant son sexe que son mental.

Il y a toute chance que cela prolonge le Jeu, et ça, c’est sympa pour vous et vos orgasmes.

Il est pris dans une injonction contradictoire : prolonger volontairement de longs jours son abstinence ou risquer de la prolonger encore plus de temps.

Tout cela accroît votre puissance sur lui. Votre puissance de Princesse !