Motivation
Fixer des règles favorables
Avec la CMC, c’est naturellement moi qui détermine s’il a droit à un orgasme et quand.
Je fixe donc des règles. Toutes à mon avantage.
La première d’entre elles est qu’il doit me donner un minimum d’orgasmes avant que je ne lui en autorise un pour lui. En général je fixe ce nombre à 10.
Il s’évertue donc à m’en procurer. Et cela a un effet double :
- d’abord il cherche à ce que je parvienne à un plaisir satisfaisant, autrement cela ne compte pas et il peut même être pénalisé
- ensuite, il me sollicite en permanence pour que je lui demande de me satisfaire. Il est attentionné, il me flatte, il cherche à me séduire. Je me croirais revenue aux premiers temps de mon mariage, lorsqu’il me draguait encore à mort.
Et puis, pourquoi ne pas en profiter pour le reste…
S’il n’est pas suffisamment attentionné, s’il a râlé parce que j’ai entraîné pendant des heures pour me choisir un petit top que je n’ai trouvé qu’à la 34ème boutique, s’il m’a désobéi, je n’hésite pas à faire reculer son compteur avec des pénalités.
De la même façon, il est sacrément motivé pour les tâches ménagères, je vous l’assure. Lorsque je passe l’inspection, il me suit deux pas derrière, effaré que je trouve quelque chose à redire.
Je suis en général assez gentille mais la simple menace suffit pour qu’il prenne le plus grand soin à ce qu’il fait.
Etre injuste
Oui, je l’avoue, parfois je suis injuste, juste parce que j’ai envie d’être injuste.
Il a été parfait. Il m’a donné plein de bons et pleins plaisirs. Et, pauvre de lui, au moment où enfin il a pu obtenir de moi l’autorisation d’un orgasme, j’ai envie de le ruiner… comme ça, sans raisons.
Je lis sur son visage l’incompréhension et la frustration. J’ai pitié. Je le console longuement en lui assurant qu’il n’y est pour rien. Que c’est moi qui ai été méchante.
Il m’assure alors qu’il m’aime quand même.