Jouer de son mental !
C’est vous qui avez raison
L’intérêt pour nous des relations avec nos chéris lors des périodes de jeu de chasteté contrôlée, c’est qu’en contrôlant leur engin nous contrôlons leur cerveau.
Il est en cage, il n’attend qu’une chose c’est de savoir quand il sera enfin délivré et surtout il attend tout simplement d’être délivré. Son cerveau est obnubilé par ces questions. Vous pouvez en jouer à loisir.
Comme c’est vous qui décidez de ce qui est LE plus important pour lui, c’est vous qui avez toujours raison.
Il aura beau argumenter, supplier, trouver que vous êtes injuste, que votre position n’est pas rationnelle. En fin de compte, seul votre jugement compte.
Manier le dilemme
J’aime le mettre devant des dilemmes irrésolubles rationnellement.
C’est un scientifique, il essaie toujours de raisonner, de peser les solutions avec rigueur.
J’adore donc le mettre dans des situations dans lesquelles sa raison ne peut plus rien. Parce que c’est mon seul caprice qui décidera en fin de compte.
Carotte et bâton
Je lui propose par exemple d’argumenter pour une libération. Et de le faire par écrit : au moins l’équivalent d’une copie double. Et écrite à la main juste pour le fun. Il n’écrit plus que sur ordinateur depuis longtemps et doit passer un temps infini à calligraphier pour arriver à être lisible.
Je lui propose une carotte, sa libération, avec un gros, très gros bâton au-dessus de sa tête : s’il ne me convainc pas, je double sa période d’enfermement.
Il va passer des heures à peaufiner son argumentaire, à soigner son écriture, à remplir sa copie de marques de déférence envers moi. Cela devient parfois une vraie plaidoirie d’avocat.
Injuste et imprévisible
Tout son raisonnement, parce que c’est sa nature, va être parfaitement rationnel. Il faudrait que je vous montre un jour une de ses copies, c’est extraordinaire. Je suis d’ailleurs un peu émue du soin et de l’énergie qu’il prend pour me convaincre et me plaire.
Mais justement, une clé de mon pouvoir est la capacité que j’ai à être injuste, irrationnelle, imprévisible.
Un jour, je vais trouver sa copie formidable, je vais lui faire des compliments et je vais l’entraîner dans le lit pour une baise comme il le souhaite. S’il veut me prendre en levrette, je me mets en levrette.
Un autre jour, je vais lui dire que je trouve sa copie médiocre, en-dessous de ce qu’il est capable de produire. Je consens alors à le libérer. Mais je lui ruine sadiquement son orgasme en lui disant qu’il ne méritait pas mieux. Et je le remets instantanément en cage.
Un autre jour encore, surtout s’il a particulièrement soigné sa production, je lui dit qu’elle est nulle. Que c’était se fiche de moi. Et je retarde sa délivrance d’une semaine.
Et puis, une fois, j’avais envie de le briser un peu. Il avait pris un peu trop d’assurance. J’ai pris sa copie. Je l’ai déchirée devant lui sans la lire en lui disant que j’avais changé d’avis. Que j’avais décidé que sa libération serait finalement décalée d’au moins 5 jours.
La tête qu’il a faite ! Et comme il commençait à chouiner à l’injustice, j’ai retiré ma culotte devant lui et la lui ai enfilée dans la bouche pour avoir la paix.
Mais croyez-moi ou pas, il n’a jamais été aussi dévoué et attentif à moi que pendant les 5 jours qui ont suivi cette injustice flagrante. Finalement, il aime ce côté despote en moi. Et je dois dire qu’être despote peut être assez amusant pour moi.