Tout petit rikiki !

Inquiétude masculine

Lorsque je le garde en cage un long moment – et pour lui un long moment c’est déjà à peine une semaine – il a l’impression qu’il va rétrécir du kiki.

Surtout si je limite les séances de libération.

Pour le nettoyage je lui attache systématiquement les mains dans le dos afin qu’il ne puisse se toucher. Et j’utilise de l’eau entre tiède et glacée pour qu’il soit dissuadé de bander.

Le reste du temps, si sa queue reste enfermée dans la cage métallique, celle qui est vraiment petite et dont je vous ai parlé dans ce post, il ne peut jamais vraiment bander, en tout cas jamais atteindre le diamètre et la longueur d’une pleine érection.

En profiter

Je m’amuse à lui faire croire qu’elle rétrécit. Lorsque je le libère pour la laver, je n’évoque jamais la froideur de l’eau pour justifier sa petitesse.

Au contraire, je lui fait constater qu’elle est devenue toute petite. Si, malgré le froid il tente une timide érection, je lui montre comme elle est minable, comme elle est ridicule.

Je lui dit que plus jamais il ne pourra sans doute me satisfaire. Que j’ai besoin d’une vraie queue. C’elle d’un homme, un vrai.

Cela l’affole complètement.

Je lui mets alors encore plus la pression en lui rappelant que sa libération ne dépend que de moi. Qu’il ne pourra recommencer à grossir un peu qu’en étant libéré. Que cela ne dépend que des efforts qu’il pourra faire en étant le plus serviable des maris, le plus léchant des amants, le plus obéissant des esclaves.

Il est prêt à encore plus accepter mes caprices et mes exigences.

C’est fou comment ils attachent de l’importance à la taille de leur petit engin.

Heureusement que nous ne mettons pas autant d’ego dans la taille de nos seins.

Les miens ne sont pas très gros, mais mon pouvoir est pourtant immense sur lui !