Il faut connaître la liberté pour la désirer

Un fantasme peu crédible

Lorsque je parcours Internet, je vois de multiples blogs, posts, articles, captions dans desquels des hommes essentiellement fantasment sur la chasteté permanente.

Ce ne peut être qu’un fantasme. Et un fantasme peu crédible.

Je ne vois pas un vrai couple vivre dans ces conditions.

D’abord que deviendrait la petite queue d’un male enfermée en permanence dans une cage ?

Et ensuite, comment serait géré le couple ?

Quelle serait la motivation d’un homme dont la queue serait en permanence enfermée sans perspectives de sorties ?

Sans espoir, il n’y a que le désespoir.

Manager la clé

Il me semble important de rappeler qu’un organe dont on ne se sert pas dégénère.

Il faut permettre à son petit engin de se déployer hors de la cage, pour entretenir le réflexe de la bandaison, même si c’est pour le laver. Et même si on ne l’autorise pas à manipuler lui-même sa petite queue.

De même, il faut lui rappeler régulièrement ce qu’est la montée vers le plaisir. Je m’astreins à organiser de fréquentes et longues séances de teasing. D’abord c’est amusant pour moi. C’est même passionnant de voir comment j’arrive manier ce petit engin pour l’amener de multiples fois à la frontière de la jouissance, voir des spasmes arriver, voir l’espoir sur le visage de mon chéri et son désespoir lorsque je calme ses ardeurs.

C’est avec des séances comme celles-là que je maintiens un niveau de frustration positive à son maximum. C’est grâce à elles qu’il est aussi attentionnée et obéissant touts les jours et toutes les heures.

Et puis, s’il n’y avait pas cet extraordinaire plaisir qu’il a lorsque je le laisse parfois jouir, il n’aurait pas tant d’espoir lors des séances de teasing.

Je lui permets donc des éjaculations de temps à autres. Il ne sait jamais quand je le laisserai partir. Cela me donne un pouvoir immense.

Et il ne sait jamais si ce sera une vraie éjaculation, un orgasme ruiné ou même un misérable écoulement en cage.

C’est moi la maîtresse des horloges.

C’est moi la Princesse de sa jouissance.