Cruauté mentale
Savoir être cruelle
Au début cela a été dur pour moi. Je l’aimais – et je l’aime toujours d’ailleurs – alors je ne voulais pas être dure avec lui. Je ne savais pas dire non. Je ne savais pas être exigeante. Je ne savais pas exercer de l’autorité.
Mais on finit par apprendre.
Surtout lorsque l’on s’aperçoit que, loin de diminuer son amour pour vous, c’est affirmer votre autorité qui au contraire le renforce.
Plus vous êtes autoritaire, plus vous exigez, plus vous êtes “exichiante”, plus il vous adore.
On acquiert de l’imagination
Progressivement, j’ai exploré toute les possibilités que m’offre le pouvoir que j’ai sur lui lorsqu’il est en cage.
Bien sûr, j’ai commencé par apprécier son ardeur à me donner du plaisir pour essayer de compenser par mon plaisir à moi, son plaisir à lui qu’il ne pouvait obtenir.
Puis je lui ai confié de plus en plus de tâches ménagères. Toutes les corvées qui m’enquiquinaient.
J’ai commencé à vérifier de façon pointilleuse son travail, n’hésitant pas à sévir lorsque je trouvais des erreurs ou des imperfections.
Et naturellement j’ai commencé à jouer de lui.
Je me suis amusée à exiger qu’il s’occupe de mes ongles, de mon épilation, etc.
Je me suis amusée à lui faire porter un culotte de fille. Ou un plug pendant que nous allions faire des courses.
Et j’ai franchi une étape supplémentaire
Il y a quelque chose à laquelle je n’avais pas touché, certains de ses loisirs que j’estimais sacrés.
C’était une sorte de périmètre personnel que je lui abandonnais. Une sorte d’enclave dans mon pouvoir.
Il y a un mois, alors qu’il n’avait pas été vraiment sage, qu’il m’avait mise en colère, j’ai décidé de franchir cette dernière frontière.
Je n’ai pas hésité à lui faire sacrifier son sacro-saint match de rugby du samedi après-midi pour qu’il m’accompagne faire les courses dans les grands magasins, ce qu’il déteste.
J’ai pris la main sur son portable. Lorsque nous sommes ensemble, je le lui confisque et il doit me demander l’autorisation pour s’en servir, que je ne lui donne que très rarement.
Privé de vélo
Enfin, dimanche dernier, j’ai attaqué la dernière forteresse, son vélo avec ses potes le dimanche matin.
C’est vrai que cela lui fait du bien de faire du sport et que je ne vais pas l’en empêcher. Mais j’ai voulu lui montrer que même ça, ce n’était plus sacré pour moi.
Dimanche tôt, il est sorti du lit discrètement comme il le fait d’habitude pour ne pas me réveiller et il est allé se préparer son petit déjeuner.
Sauf qu’en arrivant dans la cuisine, il a trouvé un petit mot manuscrit que j’avais laissé le samedi soir tard : “Téléphone à tes copains pour dire que tu es malade, j’ai d’autres plans pour toi”
Moi je m’étais à moitié réveillée lorsqu’il s’était levé. Et comme j’étais vraiment curieuse de ce qui allait se passer, je me suis réveillée tout à fait et ai ouvert grand mes oreilles.
Pendant un long moment après qu’il avait dû trouver mon mot, il ne s’est rien passé. Sans doute qu’il réfléchissait à ce qu’il allait faire. Puis j’ai entendu comme en murmure qu’il téléphonait. Puis plus rien…
J’ai dû me rendormir car, lorsque je me suis réveillée, il était là devant debout devant moi en me disant : “Princesse, le petit déjeuner est prêt”.
Je me suis réveillée tout à fait et me suis levée avec un sourire en coin.
Il avait tout bien préparé, il n’a même pas râlé !
Alors profitons-en !
Sitôt le petit-déjeuner avalé, je l’ai entraîné dans la chambre. Je lui ai fait avaler un comprimé de viagra que j’avais mis de côté pour cette circonstance.
Je l’ai attaché pieds et mains sur le lit. Je lui ai mis une cagoule pour le priver de sa vue. Je lui ai rentré dans la bouche un bâillon-boule pour ne pas l’entendre. Je lui ai glissé dans les oreilles des bouchons pour qu’il n’entende rien. Et j’ai retiré sa cage. Sa queue s’est déployée instantanément.
Je vous raconterai la suite une autre fois
Sachez juste que, malgré le viagra, je me suis arrangée pour qu’il ne puisse éjaculer. Que malgré ça, il en était presque à me remercier d’avoir sucré sa sortie vélo. Et que moi, waouh !
