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Switch

pour une fois la keyholder est devenue soumise. De femdom à victime de son maître BDSM

Echanger les rôles ?

Je l’ai déjà fait quelques fois et c’est assez intéressant.

Je lui demande de me dominer et cela est très intéressant de voir les chemins qu’il emprunte. Nul doute que ce qu’il me fait à moi est ce qu’il aimerait bien que je lui fasse.

A moi ensuite de savoir si j’aurai envie de lui faire plaisir en lui donnant à mon tour les traitements qu’il a choisis. ou au contraire si je me sens méchante et que j’ai envie de le contrarier et de le surprendre.

Que s’est-il passé la dernière fois ?

Je lui avais donné pour consigne de prendre l’initiative en lui disant que j’étais prête à tout. A lui de trouver le meilleur scénario.

Je faisais les courses lorsque j’ai reçu un SMS me disant de rentrer à la maison à 16 heures précises.

J’ai réfléchi : devais-je arriver en retard pour qu’il ait un prétexte à punir une vilaine fille désobéissante ? Devais-je arriver au contraire en avance pour le contrarier ?

Finalement j’ai choisi d’arriver pile poil à l’heure.

A 16 heures exactement – je surveillais l’heure sur mon smartphone – j’ai mis ma clé dans la serrure. Clang ! la porte est restée bloquée, l’entrebâilleur était mis et j’ai été obligée de sonner.

Il est venu m’ouvrir et j’ai pu rentrer. Mais cela m’a donné des idées. Une prochaine fois lorsque nous jouerons dans le bon sens (moi la Princesse !) je mettrai l’entrebâilleur mais je le ferai lanterner 10 minutes sur le palier. Ou alors je lui demanderai de se déshabiller au moins en partie sur le palier avant que je lui ouvre. Ou encore, je lui demanderais d’enfiler une cagoule ou un collier sur le palier en riant de savoir qu’il sera terrorisé d’être possiblement vu, même si la probabilité est infime.

Mais je reviens à notre jeu. Je suis rentrée et j’ai vu posé sur le canapé du salon une cagoule, un collier de chien avec une laisse courte et un bâillon-boule.

J’ai mis les accessoires, sauf le bâillon. Je l’avais acheté pour lui mais je ne l’ai jamais essayé et il se trouve que l’ouverture de ma bouche est trop petite pour la boule. C’est bête !

De ce fait, lorsque je me suis présentée dans la chambre, nue, aveuglée par la cagoule, le collier autour du cou avec la laisse pendant entre mes seins et le bâillon dans les mains, je me sentais coupable.

C’était un bon prétexte pour qu’il me gronde et me traite de vilaine fille.

J’étais dans le jeu, toute tremblante et conjecturant sur ce qu’il m’avait réservé.

Après m’avoir caressée, avoir pétri mes fesses, leur avoir donné des petites claques, il m’a fait m’étendre sur le lit et m’a attachée avec des menottes à scratch aux attaches de lit de tête.

Je m’attendais à ce qu’il fasse de même pour mes pieds. mais s’il m’a bien mis des menottes de chevilles cela a été pour me tirer les pieds vers le haut en les reliant aux menottes de poignet.

J’étais donc jambes largement écartées – comme si on était en missionnaire, mais toute seule – les fesses surélevées et complètement ouverte de l’entrejambe. Une position où l’on se sent incroyablement vulnérable.

Et là, cela a été un festival de sensations. J’a reconnu la grande plume d’autruche qu’il utilisait pour me caresser partout. La sorte d’araignée métallique faite de tiges très souples qui donnent des frissons intenses.

Et puis j’ai pris quelques coups de ce que je pensais être la petite cravache gentille sur les seins et les fesses.

Il m’a posé des pinces à sein, celles que l’on a avec serrage progressif. Cela décuplait mes sensations lorsqu’il me mordillait ou léchait l’extrémité des tétins.

Après avoir caressé mes fesses, il a exploré mon anus largement exposé. D’abord avec le doigt. puis un petit plug, ceux de forme ergonomique. J’en mets la photo ci-dessous :

Il m’a mis le plus petit qui est rentré sans problème, même si je n’ai pas l’habitude d’être pénétrée par là et a joué à le faire bouger, le ressortir à moitié, le laisser rentrer naturellement, j’en étais toute remuée et à vrai dire cela me plaisait presque.

Il m’a alors demandé si je voulais la taille au-dessus et je lui ai dit “non, je ne crois pas”.

Et c’est là où il m’a surprise, il a retiré le petit plug et m’a dit “Tant pis, tu vas essayer“. Et il m’a introduit celui plus gros. J’étais un peu furieuse, je me suis crispée et du coup j’ai eu un peu mal. mais je dois avouer qu’il est rentré finalement sans problème et que je me suis retrouvée avec un engin plus gros que ce que j’aie jamais eu dans mon fondement.

J’étais avec les pinces à seins qui me serraient, aveuglée par la cagoule, exposée en grenouille inversée et avec le plug qui ne pouvait se faire oublier.

Et…

Et plus rien. Je ne l’entendais plus. Je ne savais pas où il était. Je me suis mise à gamberger. J’ai eu l’impression que cela durait des heures.

Et soudain j’ai sursauté. J’ai ressenti un souffle puissant et précis sur ma vulve, frigorifiant mon petit bouton. Qu’était-il allé chercher ?

Après avoir retiré mes pinces à sein – cela a fait un mal de chien car il les a retirées sans ménagement juste en tirant la chaine -, il a alors entrepris de commencer à me solliciter avec des engins vibrants.

Il a utilisé le Jiminy Cricket sur mes seins hyper sensibles, sur la chatte. Mais aussi le Womanizer et le Magic Wand.

Il alternait les instruments, il alternait la force, la pression, le rythme. Il s’interrompait. Me mordillait un tétin par surprise. Reprenait sur mon clito qui n’en pouvait plus. mais s’interrompait dès que j’approchais de l’orgasme.

Le pire a été lorsqu’il a appliqué le Magic Wand sur la partie apparente de mon plug. Plusieurs fois il l’a fait et de plus en plus puissamment. C’était une sensation indescriptible. Excitante mais terriblement frustrante car elle n’arrivait pas à enfin me procurer l’orgasme libérateur que j’attendais.

Le salaud, il avait bien appris des innombrables séances de teasing que je lui ai infligées.

Pendant une heure exactement – il m’a dit qu’il s’était fixé cet objectif de durée – il a joué avec moi comme ça. Et pour moi cela a semblé durer des heures.

A aucun moment je n’ai pu atteindre un vrai orgasme. Et lorsqu’il m’a dit. Bon, on va s’arrêter là, on verra demain si tu mériteras de jouir, j’ai crû devenir folle. Quel salaud !

Le lendemain, j’ai eu droit à jouir.

Mais je vous garantis que lui est resté en cage. Il va le payer, je me sens d’humeur sadique !

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2 Comments

  1. Bonjour Princesse,
    Pendant une telle séance, je n’aurais pas résister à la tentation d’un cuni passionné… mais toujours dans le tease …and denial !
    Bravo à vous pour votre demande de switcher, c’est très courageux et surtout une belle preuve de confiance entre vous !
    Merci pour vos post réjouissants.

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