Le pouvoir n’empêche pas la tendresse
Le pouvoir est joyeux.
En cage, ses tentatives d’érections sont amusantes, surtout lorsqu’il essaie de casser les barreaux de la cage. J’adore jouer à lui lécher la peau sensible de sa queue au travers des barreaux.
Un grand avantage de sa position est que l’abattant des WC est toujours abaissé et qu’il n’y a plus jamais du pipi partout. Et il fait moins le fier de devoir, comme nous les femmes, trouver une cabine dans les toilettes des stations-services.
Motivé qu’il est à espérer une libération, il me décharge de la plupart des tâches ménagères, au moins celles qui m’embêtent. Plus de discussion lorsqu’il s’agit de descendre les poubelles. Pas de protestation si je lui demande de faire la vaisselle alors qu’il y a un match de rugby à la télé.
Il m’amuse lorsque je lui donne des ordres qui le contrarient et qu’il fait sa tête de chien battu. Pauvre petite chose en mon pouvoir.
Sa façon d’essayer de protester sans trop protester par crainte de représailles est assez hilarante, j’adore !
Et bien sûr, je me régale de ses massages, de ses caresses, des préliminaires infiniment longs que j’exige de lui, des orgasmes multiples qu’il arrive à me donner… sans que lui-même puisse aller au bout.
Parfois, je le libère de sa cage pour de longues séances de teasing et je ris lorsque je referme la serrure sur son petit oiseau incroyablement frustré.
Mais dominer n’est pas mépriser. C’est aussi ce qu’il veut au fond de lui et je le lui donne.
Je l’aime mon petit chéri ! Et j’aime cet être nouveau qu’a créé la chasteté contrôlée.