Un teasing infernal

Je vais vous raconter

Je suis assez fière de moi.

La semaine dernière, c’était la dernière semaine de Locktober. Pour des raisons sur lesquelles je ne m’étendrai pas, nous n’avons pas pu le faire cette année. Pas possible d’avoir de l’intimité pendant la majeure partie du mois.

Mais cela ne m’a pas empêché de faire preuve d’un peu de créativité.

Je l’avais laissé abstinent pendant 5 jours sans la cage. Je sais que sur ce type de durée je peux faire confiance pour qu’il ne cherche pas à se soulager lui-même.

Au bout des 5 jours, je lui ai posé la cage alors qu’il ne s’y attendait pas.

Je lui ai dit MAINTENANT !

Je l’ai entraîné dans notre chambre et je lui ai posé la cage métallique plutôt mini, celle qui est assez courte et surtout étroite : il ne peut gonfler comme il veut au niveau de la tête de la queue. C’est assez contraignant pour lui. Et en plus elle est très lourde, donc il ne l’oublie pas.

Je l’aime beaucoup, c’est celle que je trouve la plus belle. C’est comme un bijou sur ce sexe qui m’appartient alors pleinement.

Trois jours de plus

Pendant trois jours, je me suis peu occupée de lui.

Toujours ce manque d’intimité qui nous empêchait de faire ce que nous voulions.

Bien sûr, il essayait de savoir quelles étaient mes intentions. Quelle était l’échéance. Ce que j’avais prévu.

Bien sûr, il était déconcerté par le fait que je ne m’occupais quasiment pas de lui.

Et le quatrième jour…

Le dimanche matin, nous étions enfin tranquilles à la maison, seuls tous les deux depuis presque un mois.

Il m’a préparé le petit déjeuner avec des croissants qu’il est allé chercher (motivé le petit mari !).

Il m’a regardée avec des yeux interrogatifs pendant que nous mangions et buvions nos cafés mais je restais de marbre.

Dès que nous avons fini, je lui ai fait apporter une chaise de terrasse dans la salle de bain, un de celles qui en craignent rien puisqu’elles sont faites pour rester dehors.

Je lui ai demandé de se déshabiller et de se tenir debout devant moi qui m’étais assise sur la chaise.

J’étais excitée comme une folle car je préparais mon coup depuis plus d’une semaine. J’ai écarté mes jambes et passé mon doigt contre ma fente sous la chemise de nuit et je me suis aperçue que j’étais trempée.

Par jeu, j’ai mis mon doigt sous son nez pour qu’il respire mon odeur. Il parait qu’il y a des molécules magiques dans nos secrétions qui ont un effet terrible sur les males, voir ici un post explicatif de Evolving your man. Puis je lui ai fait lécher.

Sa réaction a été immédiate. Sa verge a gonflé entre les barreaux de sa cage. Il était complètement excité lui aussi.

J’ai joué un moment avec sa queue et j’ai fini par lui faire prendre ma place sur la chaise.

J’ai alors saisi le rouleau de film alimentaire que j’avais caché dans le tiroir sous le lavabo et ai entrepris de le saucissonner sur sa chaise.

Les miracle du film alimentaire

Ce genre de film est un bonheur.

Vous ne risquez pas de couper sa circulation si vous le posez à plat et non en cordon. Vous pouvez garder des parties de son corps accessibles, comme les tétins si sensibles.

Il est absolument immobilisé. Si vous passez suffisamment d’épaisseurs et que vous couvrez la majeure partie de son corps, il ne peut faire le moindre geste, ce qui vous donne un pouvoir terrible. Regardez ses yeux d’ailleurs, vous y verrez un peu de panique.

Et il transpire en dessous ce qui, m’a-t-il dit, contribue à sa sensation de vulnérabilité.

Amusons nous !

Il était là sur sa chaise complètement immobilisé, avec juste le sexe et les tétins dégagés.

J’ai alors pu enlever la cage. Ce ne fut pas si facile car il essayait de bander comme un âne.

Du coup, sa queue s’est complètement déployée lorsque j’ai achevé de retirer le tube. Je n’ai pas retiré l’anneau car cela ne me gênerait pas pour ce que je voulais faire. Et vous savez combien c’est difficile à remettre s’il est en pleine érection. Or, vous le verrez, contrairement à ce qu’il pouvait croire – et qu’il espérait sans doute avec force – je ne voulais pas forcément terminer en le laissant partir.

Mais d’abord j’ai eu une envie soudaine de faire pipi. Et je me suis dit que j’allais m’amuser.

J’ai décalé sa chaise en faisant basculer celle-ci sur un pied dans un sens puis dans un autre pour arriver à la positionner devant notre douche à l’italienne. Diable qu’il était lourd mon mari. Il faudra que je songe à le faire maigrir.

Je me suis alors mise couchée sur le dos, les jambes écartées et levées, ma fente bien positionnée en face de lui. J’étais à un mètre cinquante environ.

J’ai écarté mes lèvres avec mes doigts, j’ai relevé ma vulve et je me suis libérée d’un seul coup. Le jet est monté et est presque arrivé sur ses pieds qui ont reçu des éclaboussures.

Je sais qu’il aurait bien aimé que je l’atteigne en pleine figure, il fantasme suffisamment là dessus. Mais justement, je ne voulais pas. Je voulais justement le frustrer. Cela a d’ailleurs marché, il s’est mis à râler de façon rigolote.

J’ai passé un coup de jet de douche pour me nettoyer moi ainsi que la douche.

Et je me suis amusée à terminer avec le jet glacé sur sa queue. Celle-ci s’est recroquevillée instantanément.

Teasing

J’adore quand elle est toute petite et ridée comme ça et que je la fais se déplier et grossir.

Je me suis donc amusée avec ma main à la faire revenir à ses proportions normales.

Sa queue était dressée presque à la verticale. J’ai fini de la décalotter complètement en achevant de tirer sur ses bourses.

Son frein était complètement tendu. Je me suis amusée à le parcourir du doigt en l’humectant avec ma salive.

J’ai ensuite utilisé le bout de la langue mais j’étais prudente car il était dans un état pas possible.

J’ai donc recommencé avec le doigt, observant attentivement les mouvements de sa queue ainsi que son expression. Il y a longtemps que je ne me fie plus à ce qu’il peut me dire.

Dès que j’ai perçu que j’étais tout proche de le faire partir, je me suis interrompue et j’ai laissé le soufflé retomber en me lavant les dents.

Lorsque j’en ai eu terminé, la bestiole était redevenue demi-molle. Je l’ai prise dans ma main et ai effectué quelques mouvements de va-et-vient. Elle a immédiatement regrossi.

Cette fois, j’étais aidée par le liquide lubrifiant (le precum en anglais) qui avait perlé de son méat.

Mon doigt était tout glissant. Je l’ai amené à nouveau tout près de la délivrance, il gémissait comme un fou.

Et j’ai tout arrêté. Il était temps que je m’occupe de moi.

J’ai posé une serviette sur le sol et je me suis assise, les cuisses écartées en face de lui. J’étais excitée au plus haut point, dégoulinante de cyprine, je n’ai pas mis longtemps à jouir.

Lorsque j’ai rouvert les yeux, j’ai cru que les siens allaient sortir de leurs orbites. Visiblement cela lui avait fait de l’effet.

Ce n’était pas la peine que je tente de m’amuser avec lui, il était prêt à exploser.

J’ai donc pris une douche tranquille. Enfin, tranquille… Je me suis quand même bien amusée à me savonner les seins et les fesses langoureusement devant lui.

Du coup, il était encore tout excité lorsque je me suis séchée. Je me suis contentée de lui triturer et suçoter les tétins. Pas la peine d’en faire plus, sa queue effectuait des arcs de cercle impuissants.

Je l’ai alors laissé et suis allée dans la chambre après avoir éteint pour le mettre dans le noir.

Lorsque je suis revenue un quart d’heure plus tard, sa queue était retombé mais il n’était pas complètement au repos.

Deux fois j’ai alterné des périodes où je le laissais seul dans le noir et des phases où je revenais pour lui exciter le sexe et les tétins de la langue et des doigts.

Au bout d’une heure, l’alarme de mon téléphone s’est déclenchée.

Dommage pour toi petit chéri. Je t’ai pourtant laissé une heure entière pour jouir, tu n’en as pas été capable.

Alors, retour en cage !

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