Libération ?
Un rythme trop prévisible ?
Nous alternons des périodes de liberté totale pendant lesquelles nous fonctionnons comme un couple totalement vanille et des périodes de chasteté contrôlée pendant lesquelles je suis la Princesse et lui mon chevalier servant.
Je me suis aperçue que c’était souvent le week-end que je le libérais. Il faut dire que c’est pratique. On ne travaille pas, beaucoup de disponibilité donc pour jouer. Et quand on a fini de jouer, moi j’ai souvent envie d’une vraie bonne baise avec son engin libéré. J’ai envie de me jeter sur lui pour me pénétrer sur son érection qui n’en peut plus d’avoir été entravée.
Mais c’est bien que le jeu reste un jeu. Et un jeu cela suppose du hasard, de l’imprévisibilité. Alors il faut varier.
Surprise !
L’autre jour, en deuxième partie d’après-midi du dimanche, je l’ai fait venir vers moi. Je sais qu’il n’en pouvait plus. Il faut dire que nous avions passé un samedi intense et un dimanche matin qui n’avait pas été en reste.
- Allez, viens près de moi, je vais te parler de ta libération dominicale
A ces mots, j’ai vu ses yeux pétiller, sa queue grossir dans la cage. C’était justement ce que je voulais.
Et là, je lui ai précisé que, si je voulais lui en parler, ce n’était pas pour le libérer mais pour lui dire justement que je n’allais PAS le libérer.
Sa tête !
Il a tenté d’argumenter, de me dire que j’avais eu tant d’orgasmes ce week-end. (C’est assez incroyable, mais il tient des comptes sur le sujet !)
Moi, j’ai excipé d’un prétexte tout à fait futile pour lui expliquer qu’il ne méritait pas de libération. Que je n’étais pas satisfaite de lui.
Et j’ai conclus en lui disant : On verra ça le week-end prochain !
Il avait l’air désespéré et je pense qu’il a intégré à ce moment là que ce pourrait être encore une semaine de chasteté qu’il allait endurer.
Bon, j’avais en réalité décidé que ce serait le mardi soir. Nous n’avions rien de prévu et je pourrais ne pas rentrer trop tard du travail.
Mais lui n’en savait rien. Il allait se projeter dans un tout autre timing.
Et lorsque nous entreprendrons un nouveau jeu, il sera dans une vraie incertitude sur sa fin effective. C’est ce que je veux !