Le priver de mon minou
Une punition comme une autre
Parmi les punitions que je lui applique lorsqu’il n’a pas été sage, lorsqu’il n’a pas effectué correctement sa part de travail à la maison, lorsqu’il m’embête trop avec sa “prochaine libération”, j’ai expérimenté la privation d’une partie de mon corps.
En chasteté, surtout lorsque la période est suffisamment longue, plus de 4 ou 5 jours, il est complètement focalisé sur mon corps. Même s’il aime mes aisselles, mes pieds, mes mains, il se focalise naturellement surtout ce qui est un attribut sexuel. Il adore mes fesses, mes seins, mon minou…
Alors quoi de plus cruel que de l’en priver ?
Par exemple :
- Interdiction de voir mes seins pendant 3 jours,
- Aucun contact avec mes fesses pendant x temps
- Aucune contact physique avec moi pendant…
Là pour cette dernière punition c’est un peu plus compliqué parce qu’il ne faut pas que je me pénalise moi. Surtout que ma libido croît en général exactement comme son degré de frustration sexuelle.
Mais il faut veiller à ne pas se pénaliser soi-même
Je dois donc inventer des ruses pour continuer à me satisfaire lorsque je lui inflige ce type de punition.
La privation de tout contact, je la restreins à une durée courte, une nuit par exemple. Elle est suffisamment cruelle pour lui.
Aucun contact visuel avec mes seins. Il suffit de prendre ma douche et de me déshabiller hors de sa présence. Et de lui bander les yeux si je veux qu’il me suce ou mordille les tétons.
Pour le contact physique avec le minou, la pratique du dry-humping fonctionne, c’est ce qui est illustré sur la capiton ci-dessus. Mais je peux aussi entamer une période où je me masturbe devant lui. Pas de contact physique, mais une véritable torture pour mon petit mari en cage lorsque je me donne du plaisir devant lui sans qu’il puisse intervenir dans le débat.