Se réaliser

L’enfermer pourquoi ?

Bien sûr, il y a des keyholders qui vous diront qu’elles transforment leur compagnon en esclave servile. Qu’elles se débarrassent sur lui de toutes les tâches ménagères. Qu’elles spolient son argent. Qu’elles peuvent exercer sur lui leurs instincts sadiques. Qu’elles le maintiennent dans une chasteté permanente et totale.

Vous remarquerez que je n’ai mis qu’un petit k à keyholder car pour moi ce n’est pas de la chasteté masculine contrôlée, c’est une relation toxique.

Cela ne présente aucun intérêt pour moi. Car cela signifie qu’il y a une telle disproportion dans le pouvoir entre la dominante et le dominé qu’il n’y a aucun sport.

Et d’abord, je ne suis pas sadique. Je cherche juste à ce que notre amour devienne chaque jour plus grand, comme notre plaisir.

Non, ce que je préfère c’est qu’il ne soit pas complètement émasculé, au contraire. Qu’il rue parfois dans les brancards. Qu’il ait sa personnalité. Qu’il m’aime. Et il ne peut m’aimer que s’il lui reste du libre-arbitre.

Le plaisir est ailleurs

Le plaisir d’une relation de Keyholder avec son mari est ailleurs.

Il est justement dans la découverte et l’approfondissement des possibilité de plaisir de la Keyholder.

Libérée de la pression du sexe, de la bite, de la queue, la keyholder peut prendre son temps. Le temps lui appartient.

Elle n’est pas tenue par une échéance, l’éjaculation de monsieur.

Alors, je vous le dis mes sœurs, profitez en !

Profitez en pour lui faire explorer la moindre parcelle de votre corps. J’ai découvert des zones érotiques chez moi que je ne soupçonnais pas.

Essayez de jouir en lui demandant juste des sollicitations sur votre poitrine, titillements, suçotements, mordillements, léchouilles. C’est nettement plus long, ce n’est pas forcément aussi Waouh mais vous découvrirez un orgasme très doux, très subtil, comme un met délicat.

Faites lui enchainer les variations dans les cunnilingus jusqu’à ce que vous trouviez l’équation parfaite. Celle qui vous fait partir dans des contrées totalement inconnues.

Laissez vous aller à gémir, à crier… soyez expressive, c’est encore meilleur

Approfondissez votre pratique du pegging. Avec l’entrainement et passées les appréhensions des premières fois, vous arriverez à solliciter votre petit bouton jusqu’à l’orgasme en allant et venant entre ses reins.

Rappelez vous la chanson de Gainsbourg et Birkin, mais c’est vous qui allez et venez.

En multipliant les expériences j’ai découvert des continents inexplorés.

J’ai vraiment senti la plénitude. Je me suis réalisée

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