Injonction paradoxale !

Une expérience amusante

J’ai déjà fait à mon chéri cette plaisanterie dont j’avoue qu’elle est parfaitement déloyale.

Ses yeux étaient des billes de loto. Il n’arrivait pas à le croire.

Cela faisait effectivement 2 semaines que je l’avais gardé chaste. Nous étions le dimanche vers 17 heures, il pensait que j’allais le libérer à 18 heures.

Et puis je l’ai fait se mettre à genoux devant moi dans le salon. Je lui ai pris son menton entre mes doigts et je lui ai demandé comme s’était passée cette quinzaine. Il m’a avoué qu’il n’en pouvait plus, qu’il avait BESOIN de jouir.

BESOIN ? Tu n’as pas de besoins pendant le Jeu. Tu n’as que des devoirs. C’est moi qui sais ce qui t’es nécessaire et seulement moi.

Je lui ai alors fait constater que nous étions toujours, et pour quelques dizaines de minutes encore, dans le Jeu. Qu’il me devait obéissance comme il s’y était engagé.

Pour enfoncer le clou, je lui ai fait me déclarer à haute voix et en me regardant dans les yeux qu’il me devait cette obéissance.

Ne sachant où je voulais en venir, il n’a pu que me formuler cette obligation avec air interrogatif.

Surprise et sanction

C’est alors que je lui ai présenté cette alternative parfaitement inique :

Ou il me suppliait de le garder enfermé encore 5 jours – et naturellement, je répondrais favorablement à sa demande.

Ou s’il rechignait à le faire tout de suite et correctement. Ou même s’il me le demandait effectivement mais avec une réticence évidente et sans arriver à me persuader.

Alors je ne pourrais qu’appliquer une sanction qui serait en l’occurrence la prolongation de DIX jours de sa période de chasteté, le Jeu continuant d’autant.

Il a tenté de négocier mais j’ai été inflexible, gardant son menton dans ma main et le maintenant à genoux dans cette position d’infériorité vis-à-vis de moi.

La stupeur passée, il a enfin compris que je ne céderais pas. Qu’il était pris dans un piège total.

Il a alors entrepris en balbutiant de me demander de prolonger sa période de chasteté. Il essayait d’y mettre de la persuasion mais le cœur n’y était pas vraiment pas. Je l’ai donc obligé à reformuler plusieurs fois sa demande jusqu’à ce qu’il la fasse comme un comédien professionnel.

Et j’ai enfin cédé… Ce ne serait que 5 jours.

Et vous, il vous arrive d’être aussi déloyale ? Dites-le moi en commentaires ci-dessous :