La magique Magic Wand

Parfois dans mes posts je fantasme un peu, mais là c’est du vrai de vrai.

Cruelle ?

Oui je sais, vous allez me dire que je suis cruelle…

Mais en même temps, c’est lui qui a voulu que je sois cruelle. Au moins au début et avant que j’aille parfois au-delà de ce qu’il pensait que j’étais capable de faire.

Un nouveau jouet

Dernièrement, il y avait une promo sur Passage du désir pour un Magic Wand

NB : je ne suis pas sponsorisée par cette enseigne mais j’aime beaucoup car ce n’est pas du tout glauque comme souvent les enseignes de sex-shops. C’est un Love store et cela porte bien son nom.

Je vous mets la page ci-dessous. C’était un prix canon si on avait la carte de fidélité.

L’engin est impressionnant mais au moins celui-là n’a pas de fil. Et il faut savoir que, pour les vibration, tout est dans le poids de l’engin et la puissance du moteur. En contrepartie, la tête est toute douce, comme le serait une demi-molle de mon chéri 😉

J’ai essayé sur moi-même et cela fait un effet Woouuhhh !!!! Jamais eu un orgasme aussi puissant et aussi long. Lui il était bluffé !

Sur lui !

Du coup, je me suis dit que ce serait amusant de l’essayer sur lui. Il y avait une semaine qu’il était enfermé et il méritait bien un petit plaisir.

Mais pas un trop gros plaisir parce que tout n’avait pas été parfait cette semaine, notamment en début de période lorsqu’il était dans sa phase “même pas mal, je peux supporter”. C’est terrible, après un orgasme il faut toujours quelques jours pour reprendre la main.

Alors je me suis dit que ce serait amusant de voir l’effet sur lui alors qu’il est encore en cage.

Je l’ai donc attaché sur le lit, bras et jambes écartées. Et j’ai attaqué directement avec la tête de l’engin sur la cage. Je ne sais pas si c’est parce que la cage qu’il portait était en métal, mais elle transmettaient super bien les vibrations.

Toute son aine était animée d’ondes puissantes que je pouvais sentir avec mon autre main.

Un orgasme pour le moins ruiné…

Avec un tel traitement cela n’a pas duré longtemps. A peine une minute et il gémissait. Deux minutes, il me suppliait d’arrêter. 3 minutes et un misérable écoulement a surgi de son bigorneau recroquevillé dans la petite cage.

C’était parfaitement pathétique !

Quant à lui il a poussé un long cri qui mêlait autant le désespoir que la frustration et sans doute un peu de plaisir.

J’ai éclaté de rire. Et puis je me suis retenue en voyant son air dépité et les larmes lui monter aux yeux.

Mais je ne suis pas si cruelle que ça. Alors je l’ai pris dans mes bras, la tête enfouie dans mes seins et je l’ai consolé d’un long câlin.

Et vous, cela vous plairait ? Commentez ci-dessous :