Cruel simulacre
Locktober c’est long…
Un mois privé de son petit engin. Un mois sans pouvoir le toucher. Un mois sans le tenir pour faire pipi. Un mois sans faire fonctionner la bestiole lui-même.
Je mets un point d’honneur à lui laver le zizi moi-même sans qu’il puisse y mettre les mains. Lorsqu’il a son bigorneau en liberté, pour une séance de teasing par exemple, ses mains sont systématiquement attachées.
Si je ne prends pas ces précautions, je sais que je ne peux absolument pas lui faire confiance. L’expérience me l’a prouvé. D’ailleurs lui-même admet qu’il ne peut résister s’il a l’occasion de se toucher la queue.
En être privé, c’est ce qui est le plus difficile pour lui dans les phases de chasteté contrôlée, m’avoue-t-il lorsque je le débriefe.
Presque plus difficile que d’avoir des orgasmes très rares. Oui, moi je ne le prive pas complètement d’orgasmes pendant Locktober. Je lui autorise quelques soulagements.
Oh, pas plus qu’on ne peut en compter sur les doigts de la main. Et pas plus de deux “normaux”. Les trois autres sont ruinés et j’aime bien que l’un d’entre eux au moins soit ruiné en cage. Pour ça, le Magic Wand, c’est magique. Pour la technique, voir ici
Et je dois avouer que cela me prive aussi de le priver de son engin. Car parfois j’aimerais bien un peu plus de pénétration.
Mais il faut savoir être stoïque. Perdre un peu ici pour gagner beaucoup là. Si je fais le bilan à la fin, Locktober, c’est plus d’orgasmes en un mois que pendant 4 mois normaux. Cela mérite bien des sacrifices.
J’en profite
Car ces périodes-là, ce sont aussi des périodes pendant lesquelles, je suis la Princesse.
C’est lui qui fait tout ce que je ne veux pas faire.
C’est lui qui me masse les pieds le soir lorsque je rentre du travail.
C’est lui qui me prépare mon petit apéro.
C’est lui qui me masse le dos pour me détendre.
C’est sur son ventre que je réchauffe mes petits pieds tout froids.
C’est lui qui me concocte de bons petits plats.
C’est lui qui vient me donner du plaisir et encore du plaisir sans que j’aie aucune pression de prendre en compte les besoins de son engin.
C’est lui qui va m’accompagner pour mon shopping.
C’est lui qui va sacrifier son match de rugby pour que je regarde ma série idiote que j’adore.
C’est lui qui est merveilleux.
Mais on n’a rien sans rien
Locktober, c’est aussi une certaine charge mentale pour moi. Parce qu’il faut maintenir à un niveau intense sa frustration positive.
Si je me contentais de l’ignorer, il se lasserait. Il se désespèrerait. Et finalement, notre relation partirait en quenouille.
Alors il faut maintenir chez lui un certain degré d’excitation.
Il y a les séances de teasing naturellement pendant lesquelles je peux lui faire frôler le nirvana sans jamais l’atteindre pendant une heure.
Il y a les contacts avec mon corps avec des massages, des frottements. Il y a les moments où je lui fais me donner des orgasmes, ce qui lui rappelle lorsqu’il me faisait l’amour.
Il y a les jeux un peu plus hard, si nous jouons au pipi comme ici ou là où encore là, si nous pratiquons le pegging (voir ici) ou que je lui applique des sanctions : immobilisations, privations de son téléphone, d’un loisir… les punitions corporelles.
Mais il y a aussi les simulacres
Parfois, je peux être cruelle en lui faisant toucher presque – ce que pourrait être sa félicité.
J’avais déjà raconté mon jeu fantastique (pour moi) avec un anneau pénien. Le lien est ici
Je me suis amusée vraiment avec la gaine-prolongateur de pénis. Je l’ai raconté ici
Dernièrement, je me suis amusée à lui faire masturber le strap-on.
Je lui ai installé le harnais. Je lui ai fixé le dildo. C’est amusant, un dildo tout rose qui imite la texture d’une vraie queue.
Ensuite, je lui a demandé de me montrer comment il fait pour se masturber.
C’était assez hilarant de voir sa tête lorsqu’il allait et venait sur la fausse queue, sans naturellement rien ressentir, alors qu’il n’en pouvait plus depuis plusieurs jours déjà d’attendre une libération.
Psychologiquement, je crois que cela a été très fort. Il en avait presque les larmes aux yeux.
Je ne suis pas sadique. Je n’aime pas le faire souffrir pour le faire souffrir.
C’était juste pour renforcer l’effet du jeu sur nous deux.
Pour lui, cela a décuplé son sentiment de frustration. Croyez-moi, il a été incroyablement motivé ensuite pour tout ce que je lui proposais.
Pour moi, cela a été une sensation incroyable d’emprise sur lui. Et cela a provoqué une excitation de tout mon corps. J’en avais des papillons partout dans le ventre.