Oui, je sais, je suis un peu perverse

Joueuse

L’autre jour je me suis réveillée joueuse.

J’ai profité de ce qu’il dormait encore pour lui attacher les mains avec des attaches. J’aime bien quand ses bras sont écartés et qu’il ne peut absolument plus faire un geste pour se protéger.

Parfois il essaie de ruer. Alors je lui attache aussi les jambes bien écartées.

Cela a en plus l’avantage de me donner accès à l’ensemble de son intimité. Son petit trou notamment devient accessible.

Et comme je n’aime pas qu’il puisse anticiper ce que je vais lui faire, je l’aveugle. J’ai une super cagoule pour cela. Parfaitement étanche à la lumière. Il y a juste un trou pour sa bouche. Et sa langue…

Il était totalement en mon pouvoir.

J’allais pouvoir jouer.

Et quel est le jouet ?

Sa petite queue naturellement.

Enfin, petite…

Il remplissait totalement la cage. Sa peau faisait des bourrelets entre les barreaux.

J’ai eu du mal à retirer le tube. Cela frottait partout. Je n’ai pas essayé de retirer l’anneau. D’abord c’eut été difficile et puis c’est plus pratique de le laisser en place pour renfermer mon bonhomme en général assez rétif après avoir fini de jouer.

Dès que j’ai retiré sa cage, il s’est mis à grossir. Une “morning glory” magnifique.

Était-ce l’excitation ?

Était-ce l’envie de pisser ? Chez les males l’érection matinale peut être trompeuse pour notre ego.

Sans doute un mélange des deux.

Je sais qu’il est toujours super excité lorsque je prends la main comme ça pour un jeu.

Mais en même temps, il me suppliait de le laisser aller faire pipi , il devait en avoir bien envie.

Naturellement j’ai refusé.

Prendre son temps

C’était samedi, je n’allais pas travailler. J’avais donc tout mon temps.

J’ai passé presque une heure à le faire monter vers l’orgasme, presque jusqu’à l’orgasme mais en m’arrêtant à temps. A chaque fois, je le laissais avec la queue ballotant improductive dans le vide.

J’en profitais pour me mettre assise sur lui, ma chatte positionnée juste au-dessus du trou de sa cagoule. Je le guidais dans son ouvrage en lui triturant les tétins au rythme que je désirais.

Entre l’excitation du jeu et la bonne volonté qu’il y mettait dans l’espoir de se voir délivrer, je ne tardais pas à jouir.

Je repartais alors à l’attaque de sa queue qui avait demi mollie.

Je la prenais dans ma bouche, je sentais sa chair reprendre vigueur. Je m’amusais à lui titiller le frein. Il montait dans les tours. Je relâchais alors la pression sur son sexe pour qu’il s’occupe du mien.

Cela a duré sans doute presque une heure.

Chantage

A un moment, il n’en a plus pu. Il a presque crié.

“Je vais faire pipi au lit. Je n’en peux plus” m’a-t-il lancé.

Je me suis amusée à passer ma main sur le bombement de son pubis. Il haletait. Tout son corps frissonnait.

“Je vais te laisser aller faire pipi. Je vais être gentille lui dis-je. Mais à une condition, c’est que tu me demandes toi-même de repousser ta libération de deux jours. Ce n’est pas beaucoup deux jours, non ?”

Et en même temps j’exerçais subrepticement une pression sur sa vessie.

• Oui, je veux bien. Mais laisse-moi s’il te plait !
• Tu veux bien quoi ?
• Je veux bien que tu prolonge mon enfermement deux jours.
• Tu veux bien que je prolonge ton enfermement où tu me demandes de le faire ?
• Je demande, je demande… Pitié !
• Bon je vais être gentille, je vais accéder à ta demande

Et je l’ai libéré de ses liens.

Je l’ai accompagné aux toilettes et l’ai laissé pisser devant moi, assis sur la lunette et sans toucher son zizi. C’est moi qui ai passé un morceau de papier sur son méat.

Immédiatement après je remettais le tube et fermait la serrure.

Deux jours de gagnés. A sa demande haha !