Patience !

le mari soumis en cage de chasteté est le nez enfoui dans le sexe de sa maîtresse dans leur jeu FLR de CMC

Savoir faire des pauses

Les jeux de chasteté masculine contrôlée ne sont pas faits que de moments intenses.

Je ne pourrais assumer d’ailleurs. Car dans ces moments FLR comme disent les anglo-saxons : Female Led Relationship, c’est moi la “female” et c’est à moi d’avoir le lead.

Cela suppose une sacrée charge mentale et je dois me préserver si l’on veut pouvoir jouer dans la durée. Car la durée, c’est ce qui fait le sel du jeu. C’est ce qui fait que sa frustration s’exacerbe et que cela devient vraiment intéressant – pour moi, mais aussi pour lui.

Donc je me ménage des pauses.

Bien sûr, ces pauses pourraient être faire de rien. Je me retirerais dans ma chambre en le laissant ou plutôt, je l’enverrais dans la chambre pour avoir la paix.

La force tranquille

Mais on peut trouver des entre-deux.

C’est à dire pause pour moi et intensité pour lui.

Je peux me montrer forte sans dépenser pour autant d’énergie. Je peux exercer une force tranquille.

L’autre jour par exemple, on était samedi après-midi, je savais qu’il aurait voulu regarder son matche de Top 14 sur Canal +.

Moi de mon côté, je voulais tranquillement lira à la maison, me reposer.

Alors pour concilier l’utile (maintenir ma poigne sur lui) et l’agréable (me détendre sans pression), je l’ai mis dans la position que vous voyez sur la caption ci-dessus qui m’avait inspirée.

Je me suis vautrée sur mon canapé avec mon bouquin. J’ai largement écarté les cuisses, mais sans enlever ma culotte. Et je l’ai fait s’agenouiller devant moi, sa tête entre mes cuisses avec l’obligation pour lui de maintenir le contact avec ma chatte, ou plutôt avec le tissu de ma culotte qui recouvrait ma chatte.

Nous sommes restés comme ça pendant deux heures. Je l’ai envoyé une fois me chercher un verre d’eau, une autre fois pisser car il n’y tenait plus.

Mais le reste du temps, il est resté comme ça immobile, le nez dans mon entrejambe.

Il était fou d’ailleurs car son match passait à la télé qui était allumée, mais sans le son pour que je ne sois pas gênée pour lire. Il l’entrevoyait lorsqu’il s’est levé les deux fois. Il savait que le match passait juste derrière lui. Qu’il lui aurait suffit de se retourner pour le voir. Il en était conscient et cela devait le hanter, d’autant qu’il n’avait rien à faire si ce n’est que penser.

Et ça c’était formidable car je n’avais pas besoin de dépenser la moindre parcelle d’énergie pour le frustrer.

Le beurre et l’argent du beurre !

En profiter ?

Moi, je n’ai pas bougé.

Bien sûr, son souffle sur ma chatte, l’humidité de sa respiration, même au travers de ma culotte, tout cela me rendait toute chose.

Mais j’ai résisté, je me suis juste contentée de ce plaisir diffus. On n’a pas besoin de grands orgasmes tout le temps. Parfois, j’aime bien la légèreté. La stimulation douce qui fait du bien sans qu’il soit besoin de se prendre la tête, sans obligation de “réussir” une jouissance.

Je ne suis pas allée plus loin. Je l’ai congédié lorsque j’ai vu que, malgré le coussin que je l’avais autorisé à avoir sous les genoux pour ne pas avoir mal, il n’en pouvait plus de son immobilité.

J’ai juste savouré mon pouvoir de femme en le voyant partir tête basse

Similar Posts

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *