La vérité est dans la queue
Toujours observer sa queue
S’il y a une chose que j’ai apprise, c’est à observer sa queue.
Bien sûr, lorsqu’elle est en cage, c’est moins évident que lorsqu’elle est en liberté.
En liberté, une queue peut devenir minuscule si elle a froid comme lorsqu’il nage dans l’eau glacée de la Bretagne.
Elle peut être à l’aise, tranquille.
Grossir un peu en demi-molle
Ou carrément se tenir raide au garde-à-vous.
En cage c’est plus subtil, il a moins de place pour s’exprimer (héhé !) mais vous apprendrez à détecter ses vrais sentiments.
La queue rabougrie
Il n’y a pas que l’eau froide de la mer pour le rabougrir, vous avez le même effet à la maison avec une douche bien froide ou un bol de glaçons…
C’est très pratique pour remettre une cage !
C’est aussi un signe, lorsque vous lui appliquez une punition corporelle, cela signifie qu’il a vraiment mal.
Souvent, il vous jouera la comédie en poussant des cris, en geignant, en prétendant qu’il a mal.
Mais s’il continue de bander, c’est que c’est du cinéma. S’il débande, c’est que votre punition fait de l’effet. S’il se rabougrit, attention, il ne va pas tarder à prononcer le mot de sécurité, restez juste en limite, n’allez pas au-delà.
La queue qui occupe juste sa place dans la cage
Il est à l’aise, vous pouvez y aller.
Mais cela signifie aussi qu’il ne ressent pas la contrainte de la cage, peut-être est-ce le moment de l’exciter un peu, histoire qu’il sente bien qu’il est prisonnier.
La queue qui est demi-molle
C’est le plus difficile à diagnostiquer car cela doit être son état naturel.
Une queue qui est excitée par le port de la cage. Qui donc grossit. Mais qui ressent la contrainte de la cage. Donc qui reste semi-excitée.
C’est parfait pour le maintenir dans cet état de frustration permanente. Il ne pense qu’à vous au travers de la cage à laquelle il pense tout le temps.
Personnellement, j’adore quand il grossit mais qu’il ne bande pas vraiment. C’est adorable de jouer avec sa saucisse un peu molle.
La queue gorgée de sang
Lorsque vous voyez son pubis devenir proéminent, avec une sorte d’érection interne qui projette sa cage en avant. Que la peau de sa queue déborde des barreaux. Que son gland devient violacé.
Alors, il est à son maximum. Il n’en peut plus. Il voudrait naturellement jouir et il en presque mal.
Dans ces moments-là, vous pouvez en faire ce que vous voulez, tout le sang a quitté son cerveau pour envahir sa queue.
La vérité est dans sa queue
Que ce soit pour savoir s’il a mal, s’il est bien, s’il est excité, observez donc sa queue.
Et n’oubliez pas l’humour. Moi j’adore !
L’autre jour je l’ai fait se mettre nu devant moi, j’étais juste à la hauteur de sa cage et j’observais.
Je lui ai dit que je pourrais le libérer comme prévu. Mais que je pourrais aussi être cruelle et le garder en cage quelques jours de plus.
Il a eu beau argumenter, me supplier, sa queue avait grossi.
Je lui ai dit qu’elle m’indiquait clairement qu’il voulait rester enfermé.
Je ne suis pas sûre que cela ait été vrai. il était sans doute excité par moi en face de sa queue. il s’imaginait déjà en train de jouir.
Mais cela m’a beaucoup amusée de conclure que sa bestiole m’indiquait qu’il voulait rester enfermé.