Je mets ce que je veux !
Mon confort d’abord
Non, je ne mets pas souvent des tenues provoquantes. Non, je ne raffole pas du cuir, du latex et du noir brillant. Non, je ne mets pas de porte-jarretelles et des bas.
Bon, parfois je le fais, mais c’est uniquement si j’ai envie de le faire souffrir. Et c’est pour le faire souffrir que j’en mets.
Quand il est bien frustré, que j’ai envie de lui faire encore plus regretter que je ne l’aie pas libéré parce qu’il n’a pas été gentil et obéissant.
Ce n’est pas une récompense mais une punition !
Et je porte ce que je veux, même si cela ne lui fait pas plaisir
J’ai un tee-shirt amusant trouvé sur Internet où est écrit Keyholder. Un peu plus discret que sur l’illustration ci-dessus mais pas beaucoup plus.
J’adore le porter quand on est en vacances et que je sais que nous ne croiserons personne de notre connaissance.
Luis dans tous les cas se dit que la probabilité, même faible, n’est pas nulle. Il a peur. C’est est drolatique.
Et pour faire la mesure, je porte aussi la clé en pendentif entre mes seins. Ou en bracelet.
J’adore l’agiter pour attirer l’attention sur ce petit symbole de sa condition.
Je suis sûre que nous avons croisé des autres couples qui pratiquent. Mais jusqu’à présent aucun de s’est signalé franchement.
Si vous nous croisez n’hésitez pas. J’adorerais échanger avec une autre femme forte. Nous pourrions comparer nos pratiques et s’amuser avec nos petits chéris.
Je ne suis pas échangiste mais au moins en parole, ce serait drôle.
L’été il m’arrive de porter la clef autour de la cheville, l’hiver autour du cou, aucune femmes n’est venue me parler de ce symbole, mais parfois je croise des regards et sourire