Je le tiens
Un peu de liberté est nécessaire
Tout le monde sait qu’un organe doit servir pour continuer de servir. La sélection naturelle est impitoyable avec ce qui ne sert à rien chez un être vivant.
Alors, sa petite queue doit goûter à la liberté de temps en temps.
Mais son cerveau doit continuer de ressentir que je reste en contrôle.
En contrôle
Je peux naturellement l’attacher, le bâillonner, le tenir en laisse.
Mais j’aime bien aussi le saisir avec mes mains. Lui prendre le paquet avec ses deux petits œufs fragiles dans la peau mobile de son scrotum.
Il frissonne d’appréhension.
Il a raison, il suffirait que je les presse fortement pour qu’il s’écroule en hurlant.
C’est une sensation intense de pouvoir pour moi. Et lui me dit qu’il ressent une sensation incroyable de vulnérabilité. Il est carrément terrorisé.
J’en joue, je lui fais peur, je lui murmure à l’oreille que j’ai envie de lui faire très mal. Il me supplie et me jure qu’il fera tout ce que je voudrai.
Ca c’est sûr !
D’ailleurs, la cage que je vais lui remettre, elle est faite pour ça, non ?