Fantasmes croisés

Oui, ce sont naturellement des fantasmes
Mais cela m’amuse de les laisser venir pour ce qui me concerne. Et cela m’amuse qu’il craigne de son côté de les laisser venir s’agissant de sa petite queue.
Un énorme clitoris
Je me laisse à imaginer que tout le plaisir que je prends avec lui, depuis que je pratique la chasteté masculine contrôlée (CMC), aurait pu faire grossir mon petit bouton jusqu’à atteindre cette taille respectable.
Je dois avouer que, dans ma pratique professionnelle de médecin, je n’en ai presque jamais vu d’aussi gros.
J’imagine ce que cela doit être d’en posséder un pareil. Le plaisir en est-il décuplé ? Le nombre de terminaisons nerveuses est-il proportionnel à la taille de ce gland imposant qui pointe au sortir de cette vulve charnue ? Si c’est le cas, je me prends à rêver d’en avoir autant pour monter au huitième ? neuvième ? dixième ciel ?
Déjà que ma libido est souvent ébullition de le savoir en cage, à ma disposition, dévoué à mon plaisir…
Alors si en plus j’avais un tel potentiel… Je crois que je ne penserais qu’à ça.
J’ai déjà le sentiment que chaque orgasme qu’il me donne avec sa langue me rend encore plus sensible, plus sensuelle, plus avide. Alors si je savais que mon divin petit bouton grossissait un peu plus à chaque fois… Pour encore plus de sensibilité, de puissance orgasmique.
Je crois bien que je ne le libérerais jamais pour qu’il soit toujours plus avide de moi, avide de mon plaisir.
Un kiki de plus en plus rikiki
De son côté il a peur, je le sais, que de longs séjours en cage fassent rétrécir son kiki.
Je pense que cela n’arrivera pas. Physiologiquement, il n’y a pas de raisons.
Mais je ne le lui dis pas.
Au contraire, je me moque de sa taille. Je compare sa petite queue à celle des étalons des sites Internet. Et, imaginez bien que la comparaison est systématiquement en sa défaveur.
Je lui certifie que j’ai constaté qu’il avait encore rétréci.
Je m’amuse parfois à lui raconter que son kiki va devenir plus petit que mon clito, L.O.L.
Lorsque je le libère, il a souvent du mal à avoir instantanément une franche bandaison. Après plusieurs jours dans l’étroitesse de la cage sans avoir pu avoir une vraie érection, c’est tout naturel.
J’en profite alors systématiquement pour moquer sa demi-molle. Lui dire que je pense qu’il adviendra un moment où il n’arrivera plus jamais à bander vraiment.
J’adore son inquiétude dans ces moments-là. Les yeux affolés qu’il porte à sa petite saucisse pendante.
Cette inquiétude accroit le pouvoir que j’ai sur lui. Il quémande avec encore plus de désespérance les libérations que je lui accorde.
Et j’en profite pour exiger encore plus de lui.
Plus d’amour, plus de dévotion, plus de soumission, plus d’ardeur aux tâches ménagères et surtout plus d’ardeur à ma satisfaire !
Ah, les fantasmes…
Heureusement que je l’aime
Finally a sign of life.
Thanks for sharing.
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