Privation
Je m’amuse
Parfois, durant les Jeux, j’ai envie de m’amuser et de varier les plaisirs.
Je sais que la frustration accumulée de mon chéri de ne pouvoir se toucher la queue et bien sûr ne pas jouir ne trouve d’exutoire que dans mon propre plaisir.
Et pour cela, je sais également qu’il a besoin de proximité physique avec moi.
Il a besoin de me voir nue (je sais pertinemment qu’il m’observe lorsque je me lave, que je m’habille ou me déshabille).
Il a besoin de câlins (je vois bien comment il cherche à me coller)
Il a besoin de tendresse (il cherche le bisou et la moindre attention de ma part)
Il a besoin de me sentir (c’est un grand olfactif, il hume mes odeurs comme un animal)
Il a besoin de lécher et de sucer (il essaie en permanence d’utiliser ses lèvres, sa langue…)
Alors parfois, pour accentuer sa frustration – et donc le pouvoir que j’ai sur lui – je m’amuse à le priver de certains de ces plaisirs.
Et je me joue de lui
L’autre jour, j’ai décidé subitement qu’il serait privé de mon minou pendant 5 jours. Et je le lui ai dit droit dans les yeux alors qu’il était à genoux devant moi et que je le toisais assise sur mon canapé, les jambes légèrement écartées, juste pour le provoquer.
Il me regardait incrédule. Son regard a quitté mes yeux pour descendre plus bas.
J’ai écarté un peu plus mes jambes pour qu’il voie que je portais une “culotte de bonne sœur”. Une de ces culottes large faites pour le sport et qu’il déteste car elles sont tout sauf glamour.
Regarde-moi dans les yeux, lui ai-je dit. J’ai décidé que tu ne méritais pas mon minou. Je m’en occuperai moi-même.
Et j’ai tenu parole.
Pendant 5 jours, il n’a pu le toucher ni le voir. Bon, cela m’a contrainte à dormir en culotte, moi qui aime me sentir nue. A me changer en dehors de sa vue. A lui interdire la salle de bain lorsque je prenais ma douche.
Mais je ne me suis jamais amusée autant que pendant ces quelques jours.
Il était comme fou. Surtout que je ne me privais pas de me donner du plaisir. mais sans qu’il puisse me voir et sans qu’il participe au niveau de ma chatte (je lui ai accordé cependant de s’occuper de mes seins).
Et puis que c’était drôle de le faire venir entre mes cuisses après que j’aie joui pour renifler mon odeur au travers de ma culotte de sport. Il reniflait comme un petit chien, essayait de s’approcher. Mais je lui disais “Même pas en rêve, tu renifles, tu devines mais pas touche, même au travers de ma culotte.”
Essayez, vous vous amuserez. Et c’est pareil avec nos seins. Ils sont comme fou – en tout cas le mien – si vous leur interdisez vos seins.
Amusant mais pas tout le temps
Bon, il faut que j’avoue que l’amusement a ses limites.
D’abord, c’est une vraie contrainte pour moi. Cela me prive d’une certaine liberté. Je suis obligée de me cacher, de porter des sous-vêtements pas très rigolos. Et puis surtout, déjà que je n’ai pas sa queue qui est enfermée, alors ne même pas avoir sa langue agile, ses dents pour me mordiller et son regard plein de désir sont une frustration pour moi aussi.
Alors je réserve ce type de privation aux moments où j’en ai vraiment envie. Et je dois avouer que le sacrifice en vaut le résultat sur le mental de mon petit chéri.