Ironie cruelle
La chasteté de longue durée
J’ai montré cette gravure ancienne à mon petit mari l’autre jour.
Je lui ai expliqué que sa queue allait devenir comme ça car je ne comptais pas retirer sa cage autrement que pour le laver dans toute l’année qui suivrait.
En m’appuyant sur mon statut de médecin, je lui ai sorti tout un discours pseudo-scientifique sur le rétrécissement des queues lorsqu’elles ne peuvent bander et encore moins éjaculer.
J’étais très sérieuse en disant ça. Je lui ai expliqué que je voulais reproduire une expérience que j’avais lue dans une revue scientifique sur la perte de masse des verges enfermées. Je lui ai raconté une histoire sur une sorte de nécrose des corps caverneux.
La peur des males
Il ne voulait naturellement pas me croire. Il a plaisanté sur le fait que je ne le ferais pas et que c’était du blablas.
Mais j’étais très sérieuse. Je lui ai dit que j’en avais vraiment envie. Qu’il ne devait pas s’inquiéter pour moi. Que je trouverais le moyen d’avoir du plaisir sans sa queue. Je lui ai dit que je me sacrifierais en utilisant des sex-toys.
Mais qu’il continuerait à avoir une sexualité tout en restant en cage. En me donnant du plaisir avec sa langue. En me baisant avec le strap-on.
Il me regardait d’un air bête. Il pensait naturellement que je racontais des blagues. Mais insidieusement le doute l’envahissait. Et si…
J’observais son expression en même temps que ces idées envahissaient son esprit. Je pouvais suivre le cheminement de sa pensée.
Tentation paradoxale
A un moment, je me suis approchée de lui et j’ai tâté son paquet en cage au travers du pantalon.
Mais oui, il essayait de bander !
La perspective de rester en cage pendant un an lui faisait horreur. la vision du bouton de rose était le repoussoir absolu. Et pourtant il essayait de bander !
Ah les hommes et leur petite queue…
Puis je me suis mise à fantasmer :