Contrôler son pipi
Le pouvoir
J’avoue que lors des Jeux, je me laisse assez facilement aller à abuser parfois de mon pouvoir.
Il dépend tellement de moi lorsqu’il est désespéré de ne pouvoir jouir depuis des jours qu’il est totalement sous ma dépendance. Il guette mes gestes, il attend mon approbation, il espère ma mansuétude, il désespère de ma générosité.
Dans ces moments-là, je me sens parfois d’une puissance telle que j’ai envie d’en abuser.
Le pipi
Le brimer sur son pipi est une des choses les plus amusantes.
J’ai déjà évoqué le sujet à plusieurs reprises, comme par exemple dans ce post ou celui-là
J’y raconte des scénarios de jeux assez amusants.
Mais sans aller dans ces scénarios, je me contente parfois du seul plaisir de lui interdire d’aller pisser sans mon autorisation.
Il doit me le demander très très gentiment.
Et je suis exigeante sur la forme. Je veux des formules de la plus parfaite politesse. je veux que le ton soit sincère. Je veux qu’il me démontre qu’il a vraiment besoin de me déranger pour quelque chose d’aussi futile.
Bien sûr, il pourrait y aller sans me prévenir. Je ne le verrais pas toujours.
Mais il est méfiant. Il sait que s’il se faisait prendre, je serais capable de prendre des mesures drastiques quant à sa durée de chasteté. Je pourrais aussi le sanctionner d’une série significative de coups de cravache. Pas le martinet qui fait plus pour l’exciter que pour le punir. Non, la cravache qui laisse des marques violette sur son cul et qui le rend tout faible.
Alors, il n’ose pas braver l’interdit.
Il vient me demander l’autorisation avec toutes les précautions possibles.
Parfois, je lui jette juste un Vas-y !
Mais d’autres fois, j’ai envie de jouer. Pas maintenant, tu peux attendre !
Et je me réjouis de son air penaud. Je l’observe en riant intérieurement lorsqu’il commence à n’en plus pouvoir et se tord d’envie.
Je ris franchement lorsqu’il se risque à revenir vers moi pour me supplier alors qu’il sait que je ne suis sans doute pas encore prête à le laisser se soulager mais qu’il prend quand même le risque de me contrarier.
Je feins une saine colère et je l’envoie paître.
Je l’observe alors à la dérobée. Il se plie en deux, les mains entre ses cuisses. Il gémit.
Une fois, je suis allée trop loin, il mouillé son jean. Qu’est-ce que j’ai ri en voyant son air déconfit. J’ai menacé de lui mettre une couche.
Et lorsqu’enfin, je le laisse aller aux toilettes, je le regarde faire en le toisant de haut.
C’est amusant, malgré son envie, il a du mal à se lâcher au début, on dirait qu’il est coincé.
Puis ça se décoince et je le vois se soulager avec un sourire idiot.
Et alors, qu’est-ce qu’on dit à sa Princesse ?
Il me remercie comme si je lui avais donné la lune.