Privez-le de parole !

Fixer des règles

Une fois que les bonshommes ont compris que le pouvoir leur a échappé, que leur petit engin est enfermé pour vraiment longtemps, ils passent par une période qui peut être longue de jérémiades, de demandes, de supplications, voire de contestations.

Dans ces cas-là, la fermeté s’impose.

Il en va de votre tranquillité. Il en va aussi de votre autorité.

Personnellement, dans ces cas-là, je lui impose la règle du silence.

Il n’a le droit de parler que pour répondre à mes questions directes. En ce cas, il doit le faire avec une certaine déférence et sans détours.

Il peut aussi – il le doit même – confirmer qu’il a bien compris un ordre que je lui donne. Oui Princesse !

Ou remercier – Merci Princesse ! – lorsque je me suis occupé de lui, que ce soit pour une récompense ou une punition. Ne pas oublier que toute punition est une sorte de récompense puisque cela sert à l’améliorer.

Et s’il doit demander quelque chose ?

Naturellement, il peut avoir à demander votre avis ou votre autorisation.

Dans ce cas, il ne doit jamais poser de question directe. Il doit s’adresser à moi en me demandant : Puis-je vous poser une question Princesse ?

Systématiquement, je lui demande à quel sujet.

Si c’est un sujet idiot, comme tout ce qui touche à sa chasteté, sa libération, son inconfort ou sa frustration, j’évacue immédiatement la chose.

Procéder ainsi est beaucoup plus reposant.

En même temps, il faut savoir sévir s’il déroge aux règles. N’hésitez pas à être intransigeante.