SPH, suite…
Comme promis, une suite
La dernière fois, j’étais restée sur le fait que je l’avais amené à avoir une éjaculation précoce qui m’avait permis de l’humilier un peu et de lui faire croire qu’il ne servait à rien. Qu’il n’était plus capable de me donner du plaisir puisqu’il partait si vite.
La fois suivante, j’ai fait semblant d’être magnanime. Je lui ai expliqué que puisqu’il partait trop vite après une période de chasteté, si j’étais gentille en lui faisant plein de sollicitation sur sa queue, alors j’allais être généreuse et lui permettre un vrai orgasme. En tout cas pas trop précoce.
Je l’ai donc libéré, il en était à une semaine de cage. Et je lui ai dit : aujourd’hui, c’est toi le chef, tu vas me baiser à ton rythme, je te laisse faire.
Etoile de mer
Et je me suis mise sur le lit, nue, bras et jambes écartées, toute offerte à lui.
Il a commencé à entreprendre des préliminaires, à me solliciter. Mais je faisais attention à rester la plus impassible possible, détendant au maximum mes muscles, à la limite de la poupée de chiffon.
Je n’exprimais rien non plus de la voix. Je me contentais de le regarder d’œil clinique, celui que je réserve à mes patients gravement atteints.
Il était visiblement décontenancé, la preuve, il avait du mal à bander malgré la frustration accumulée pendant les jours précédents.
Je l’ai vu qui s’aidait de sa main pour raffermir sa mollassonne.
Et il a fini par me pénétrer. Je n’ai rien fait pour l’aider, j’ai gardé mes muscles totalement détendus lorsqu’il m’a soulevé les jambes pour me prendre en missionnaire.
Et lorsqu’il a commencé ses va-et-vient, je suis restée totalement impassible, me laissant aller totalement en me récitant intérieurement mes tables de multiplication en commençant par la table des 11 (j’ai toujours été forte en calcul mental et cela suppose d’aller au-delà de la table des 10).
J’en étais à la table des 17 lorsqu’il a poussé un grognement rauque qui annonçait son éjaculation.
Lui faire la leçon
- Ca y est, tu as fini ton affaire ? lui ai-je demandé
- Ben oui, mais et toi ? Je ne t’ai pas entendue
- Moi, je dois avouer que cela n’a pas été terrible. Tu as eu l’impression que tu me faisais quelque chose ?
- Ben non, mais pourquoi ? Qu’est-ce que tu avais aujourd’hui ?
- J’aurais tout simplement aimé avoir une vraie queue en moi. Il me semble que tu étais à moitié mou…
- Mais non ! Si, un petit peu au départ mais ensuite, j’ai vraiment bandé.
- Ah bon ? Alors je pense qu’elle a dû rétrécir car je ne sentais pas grand chose.
- Bien sûr que non. Elle n’a pas rétréci .
- Ah, bon, mais c’est vraiment le sentiment que j’avais. Si tu ne me donnes plus de plaisir, je n’aurai plus de raisons de te libérer. Si c’est pour vider tes boules, on peut le faire autrement…
- Maiiisss !
- Mais quoi ? Tu crois que tu as été brillant ? Tu crois que je suis satisfaite de t’avoir libéré ? Tu cois que je suis satisfaite tout court ?
- …
- Alors je ne vois qu’ne manière de te rattraper. Vas chercher le harnais et le dildo.
Inutile de vous dire que j’ai été particulièrement démonstrative lorsqu’il m’a baisée avec le dildo. J’ai gémi, j’ai crié, j’en ai réclamé plus…
Et je n’ai pu m’empêcher de comparer la vigueur et la taille du dildo par rapport à sa queue qui était en période réfractaire
Remise en cage
Lorsque je l’ai renfermé dans sa cage, je me suis moquée de son bigorneau qui rentrait sans effort dans la petite cage en inox. Il était particulièrement rétracté après avoir joui et avoir subi ma petite séance d’humiliation.
Je lui ai expliqué qu’étant données ses performances, il allait devoir être particulièrement obéissant, dévoué, servile même pour arriver à regagner le droit à un orgasme. Et que cela ne serait pas de sitôt.
Magnifiquement cruelle !