Fascination
Les mystères de notre sexe
J’ai parlé tout dernièrement de cette fascination des hommes pour notre vulve. Dans ce post
Mais il y a encore plus fascinant pour eux, les mystères de notre jouissance.
Point d’éjaculation spectaculaire comme chez eux. Cet espèce de crachat ridicule et gluant des hommes qui salit les draps.
Chez nous, c’est tout en subtilité, même si pour ma part, je dois bien l’avouer, je suis assez expressive sur le plan acoustique.
Chez nous c’est une vague qui vient, qui ondule, qui emporte, qui rend heureuse.
Point de tristesse post-coïtum comme chez les males qui entrent dans leur période réfractaire.
Nous sommes capables de repartir, de remonter, de jouir à nouveau.
Et je dois avouer que lorsque que nous sommes dans le Jeu, qu’il est dans sa cage, la langue pendante comme un toutou, j’en profite et je ne me lasse jamais de repartir et repartir vers ces sommets.
Ultime frustration
J’aime bien qu’il me regarde. Cela me fait des choses qu’il soit là à me fixer alors que sa queue semble sur le point d’exploser dans sa petite cage.
Cela décuple mon plaisir.
Mais parfois, je suis cruelle.
Je le fais se tenir à genoux devant moi, nu à l’exception de sa cage, les mains coincées sous ses cuisses. Je le laisse commencer à me regarder.
Puis soudain, lorsque je me sens venir, je lui ordonne de fermer les yeux. Je le menace des pires sanctions s’il n’obéit pas.
Il essaie. Il fronce ses paupières. Il se retient.
Mais je sais qu’il va craquer. Lorsque je finis par pousser des feulement de lionne, immanquablement, il VEUT voir.
Alors, c’est un mélange extraordinaire. Je me mets en colère en même temps que je jouis.
C’est une sensation incroyable.
Je me déchaine sur lui en même temps que je redescends.
Il aura droit à 15 coups de martinet que j’appliquerai ce soir. Il aura toute la fin de journée pour y penser.
Sa libération sera reportée de 3 jours. Hihi, comme si j’avais besoin de ce prétexte pour prolonger ma période de pouvoir.
Et surtout, je lui dis que la prochaine fois je serai obligée de lui bander les yeux.
D’ailleurs, pourquoi pas maintenant, où est mon Womanizer ?
