Un jeu pervers

Un accessoire intéressant

Nous avons acheté dernièrement un anneau pénien. Pas un mollasson passif. Non, un anneau vibrant et télécommandé.

Voici la bestiole :

Les anneaux, c’est pour le mettre sur la queue de mon chéri. Vous pouvez distinguer une languette magique qui se place juste au bon endroit, sur votre petit bouton d’amour.

Il n’est pas exactement au bon endroit, il suffit de se pencher un peu en avant ou un peu en arrière et il est là où vous le voulez.

Une première expérience décevante

J’étais impatiente de l’essayer lorsque nous sommes rentrés du magasin.

Parce que nous l’avions achetés ensemble. J’aime bien l’emmener dans un love store, discuter avec les vendeuses alors qu’il est juste un peu en retrait. Surtout lorsque le matériel dont nous parlons lui est visiblement destiné.

Si c’est un martinet ou une cravache, il est rouge pivoine.

Même là, le fait que, pour cet anneau vibrant, ce soit moi qui menait la discussion, qui demandait à la vendeuse comment cela se met, qui demandait si cela ne serrait pas trop le pénis de monsieur, le faisait rougir. C’était très drôle !

J’en étais tout excitée et lui aussi.

C’était une période où il n’était pas en cage. Il a installé lui-même l’anneau. J’ai déclenché la vibration au maximum. Et rapidement nous en sommes venus au fait. Il m’a pénétrée en missionnaire.

Pour tout vous dire, cela n’a pas été terrible. Mes sensations étaient brouillées entre celles de la pénétration, la sollicitation habituelle de mon petit clito et la vibration qui venait se rajouter.

En plus j’avais perdu cette fichue télécommande et je ne pouvais régler les vibrations.

Bref, l’engin est resté confiné dans la boite à jouets pendant un certain temps

Un usage original

Et puis un jour, alors que je farfouillais dans le boite à jouets, je suis retombée sur l’engin et j’ai eu une idée.

Nous avions démarré un Jeu depuis une dizaine de jours. Il était donc en cage. Son dernier orgasme était un orgasme ruiné il y a 5 ou 6 jours. Il était mûr pour mon plan.

Je lui ai annoncé le matin avant de partir au travail qu’il aurait droit le soir de me pénétrer puisqu’il avait été sage, obéissant et très câlin pendant ces dix jours.

Je l’ai relancé plusieurs fois dans la journée par des sextos suggestifs.

Lorsque je suis rentrée le soir, il était à point. Il frétillait d’impatience.

Mais j’ai fait tarder les choses. Nous avons d’abord pris l’apéritif. Je l’ai débriefé sur les tâches ménagères dont il avait eu la charge ces derniers temps. Je l’ai complimenté. Je lui ai confirmé qu’il aurait donc le droit de me pénétrer ce soir. Mais à la condition qu’il soit totalement obéissant. Sinon c’était une semaine de cage de plus.

Il a naturellement dit oui. Il se serait engagé à n’importe quoi tant il était impatient.

Nous nous sommes rendus dans la chambre, je l’ai fait se déshabiller. Je lui ai demandé de me déshabiller. Et nous nous sommes retrouvés tous les deux nus.

Avant toute chose, lui ai-je dit, je veux m’assurer que tu sois vraiment obéissant. On va utiliser le harnais. (voir ici pour nos attaches de lit)

Sitôt qu’il a été immobilisé, je lui ai détaché le bigorneau. Et, après quelques minutes de teasing, le bigorneau est devenu une belle queue bien dure. Je me suis excitée quelques temps sur lui en frottant mes seins sur son corps, en lui faisant me lécher et mordiller les tétons.

Bien vite, je n’en pus plus. Il faut dire que je me préparais à cette séance depuis plusieurs jours et que j’y avais pensé toute la journée.

Je lui ai donc installé l’anneau comme la vendeuse me l’avais expliqué. Un anneau derrière le paquet et l’autre devant juste sur la verge.

J’ai eu un peu de mal, il bandait comme un âne.

Cette fois j’ai bien pris garde de ne pas oublier la télécommande. Je me suis installée en amazone sur lui, je lui ai saisi la queue avec ma main et me suis pénétrée avec son engin qui se dressait.

Surprise !

Et là, au lieu de commencer à faire des va-et-vient sur son sexe, je me suis immobilisée. Je l’ai regardée dans les yeux et je lui ai dit d’un ton très ferme que s’il bougeait d’un centimètre, il repartait pour une semaine de cage minimum.

J’ai alors déclenché l’engin qui a commencé à vibrer délicieusement sur mon petit bouton. J’ai changé le mode de vibration pour trouver celui que je préfère. Un rythme du genre TTT t TTTT tt TTTTTT tttt TTTTTTT ttttt

J’ai eu deux pleins orgasmes. Un bonheur absolu. Je pouvais joindre la sensation d’être remplie avec les délicieuses stimulations de mon clito. Même sans mouvement, cela a été MERVEILLEUX.

Et lui alors ?

Malgré mes menaces, il ne pouvait s’empêcher d’essayer de remuer. Il aurait voulu à tout prix aller à l’orgasme mais il n’y arrivait pas. Avec les attaches qui le maintenaient écartelé et le poids de mon corps, je pouvais le maîtriser et l’en empêcher même si j’avais du mal.

Lorsque j’en ai eu terminé après être montée deux fois au plaisir, il n’avait toujours pas joui.

Je lui ai alors pris le menton de ma main, je l’ai regardé dans les yeux et je lui ai dit qu’il n’avait pas été obéissant. Qu’il n’avait pu s’empêcher de remuer malgré mes ordres. Il méritait donc de repartir pour une semaine de cage.

Si vous aviez vu son air désespéré de chien battu ! Si vous aviez pu entendre ses gémissements pendant que je lui remettais de force sa cage !

Mais après tout c’est moi sa Princesse. J’ai le droit d’être de mauvaise foi. Il m’a espérée cruelle, il a été servi !

Vous avez déjà essayé ces jeux ? Racontez-moi en commentaire ci-dessous :

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