Des questions, toujours des questions…
Mettez-vous à ma place
Lorsqu’il me demande de le libérer et de le laisser venir, il peut réussir à m’attendrir.
Parfois même je suis sur le point de céder…
C’est vrai que la pénétration me manque parfois. Et, pour être tout à fait franche, ce n’est pas exactement la même chose avec le strap-on. Même si celui-ci est plus gros que la petite queue de mon homme.
Alors je peux être tentée de me laisser aller…
Mais faites le bilan
S’il jouit, il va rentrer dans ces maudites périodes réfractaires pendant lesquelles vous ne le maitrisez plus.
Il sera moins attentif à vous.
Il aura tendance à n’en faire qu’à sa tête, voire désobéir.
Il se mettra à vous lécher en dilettante lorsque vous lui demanderez de s’occuper de vous.
Et, pour ce qui est de ses motivations pour les tâches ménagères, vous vous apercevez qu’il faut tout lui rappeler et que vous devez tout vérifier.
Bref, la galère…
La décision est facile
Même si vous en avez envie, même s’il vous fait pitié, ne cédez pas.
Respectez le calendrier
Vous avez un calendrier, sa libération est prévue tel jour. N’anticipez jamais.
Seule exception, vous lui avez lancé un challenge vraiment difficile. Cela peut être une récompense. Tu perds 2 kg cette semaine et je te libère avec un jour d’avance.
Mais en général, allez dans le sens contraire. Tu ne bois pas une goutte d’alcool cette semaine, tu effectues telle corvée (une qu’il n’aime vraiment pas faire) SINON ce sera un ou plusieurs jours de plus avant ta libération.
Là cela marche. Et c’est gagnant pour vous
Il fera tout pour vous être agréable, pour que vous ne le sanctionniez pas. Et en prolongeant sa durée de chasteté, vous n’en retirez que du bénéfice.
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