Teasing de dingue
Teasing
Je crois qu’il n’y a pas vraiment en français de mot aussi explicite pour cette activité que j’adore, le teasing.
Et qui se complète très bien en anglais avec le denial.
Il faut avouer que déni d’orgasme ce n’est pas aussi bien. Même déni tout court.
Et les deux, cela forme le Graal de la Chasteté Masculine Contrôlée (pour le coup un très bon résumé des jeux de chasteté) : le Tease & Denial
Parce que le plus rigolo dans le teasing, c’est quand cela se termine par… RIEN
En tout cas, rien pour lui, vous au contraire vous pouvez vous soigner, vous pouvez en profiter.
Mais avant j’adore le teasing.
Des sensations incroyables
Pour la keyholder (là encore un très bon mot en anglais), le teasing est un exercice passionnant. En tout cas pour moi et je pense que ce doit être la cas pour nous toutes.
Cette sensation de maîtriser sa bestiole, d’être une sorte de dresseuse de fauve. De la titiller, de l’exciter, de la provoquer, d’aller jusqu’à l’extrême, mais sans jamais qu’elle ne morde.
J’en joue comme je jouerais d’un instrument de musique. Je la frôle, je passe ma langue comme un archet sur ses chairs, sur son frein, sur son méat qui laisse perler son precum.
Elle frémit, elle spasme, elle gonfle et se teinte de violacé.
Si j’ai laissé la cage, elle tente de s’échapper par le moindre interstice.
Si j’ai fini par la libérer (après lui avoir soigneusement attaché les mains, je ne suis pas folle), elle se balance parfois dans le vide comme si elle était ivre.
Mais je ne vais jamais jusqu’à dépasser la limite. Si elle commence à frémir, à se contracter, j’arrête et je laisse son engin refroidir, redevenir demi molle.
Et je recommence.
Je me retrouve dans cet article