Qu’il connaisse sa place
Qui est la cheffe ?
Lorsque nous sommes dans un Jeu, je m’efforce de le remettre à sa place en permanence.
A sa bonne place. C’est-à-dire à mes pieds !
Ou plutôt à genoux entre mes jambes.
Une question de pouvoir
Je le connais mon chéri, il est quelqu’un qui a l’habitude dans sa vie professionnelle d’être un chef. Il sait commander et le fait très bien. C’est un excellent manager.
Mais justement, dans le Jeu et à la maison, je suis tout sauf sa collaboratrice. Je suis sa supérieure, je suis la Princesse, c’est à moi de le manager.
Et c’est surtout à moi de prendre garde de ne pas céder à ses tentatives de soumination (la domination du soumis). Je le connais, il essaie de m’influencer, il tente toujours d’orienter le Jeu dans la direction qu’il souhaite.
Mais justement pour l’intérêt du Jeu, pour moi naturellement mais sans doute aussi un peu pour lui, il faut que les règles soient claires.
Alors il faut bien exagérer un peu les choses. mettre en scène de façon un peu spectaculaire nos rôles respectifs.
Des attitudes symboliques
Vous avez déjà remarqué que les males essaient toujours d’être dans un point haut. Dans la nature, ils grimpent sur le moindre monticule, comme le font les singes dominants. Même dans la salle de bain, ils essaient toujours de placer leur serviette le plus haut sur le sèche serviettes. Et cela commence très jeune avec les concours de pipi des petits garçons.
Alors, je m’amuse à le rabaisser physiquement pour rabaisser son caquet.
J’adore qu’il soit assis sur le tapis à côté de moi lorsqu’on regarde la télé alors que je suis moi-même sur le canapé. Je passe ma main dans ses cheveux d’un geste protecteur, comme je le ferais avec un animal domestique. Je repose éventuellement ma cuisse sur ses épaules, ou mon pied sur lui.
Une chose que j’adore est de le faire s’étendre sur le dos lorsque je rentre le soir lorsqu’il fait froid. Comme toutes les filles j’ai tendance à avoir les pieds très froid, et alors avec nos chaussures qui ne nous protègent presque pas, en hiver ce sont des glaçons.
Je m’assieds sur le canapé et je glisse mes petons sous son pull et sa chemise, en contact direct avec la peau de son ventre.
Il sursaute, il frissonne, il râle. Mais je maintiens la position. Je me réchauffe sur son petit bedon comme sur une bouillotte.
C’est très fort.
D’abord, c’est très agréable pour moi. C’est désagréable pour lui et c’est quelque chose qui montre qu’il m’aime vraiment. C’est symboliquement fort car je l’utilise comme un objet. Et je suis naturellement en position de supériorité absolue.
Joindre la punition utile à l’agréable
J’aime bien en général également, le faire mettre à genoux devant moi, sa tête entre mes cuisses ouvertes.
Même si je suis en jean, la simple chaleur de son visage sur mon entrejambes est très agréable.
Et lui est dans une position de soumission marquée.
C’est dans cette position que l’on peut être très cruelle.
L’autre jour, il avait été désagréable en prenant une initiative qui m’avait vraiment agacée, surtout que je le soupçonnais de vouloir me manipuler.
Alors j’ai attendu l’après-midi. Il était en train de regarder un matche de rugby, c’était samedi, je me suis mise devant lui en lui cachant la télé. J’étais en jupe très courte et je le dominais sévèrement.
“Tourne toi, lui ai-je dit. Allez, plus vite, à genoux !”
Et je me suis assise à sa place, lui a été obligé de se placer à genoux dos à la télé alors que le commentateur hurlait comme ils le font d’habitude.
Mais le spectacle était aussi de mon côté. Je n’avais pas mis de culotte et je me tenais jambes largement écartées. Il savait ce qu’il avait faire, il s’est mis à m’embrasser le minou. Je le tenais les deux mains agrippées à ses cheveux et je l’ai guidé du geste et de la voix jusqu’à ce que je jouisse violemment.
Je suis restée ensuite un bon moment dans cette position le temps que je reprenne mes esprits.
Pendant ce temps-là le matche de rugby continuait de se dérouler mais il n’osait bouger. J’ai pris la télécommande, j’ai zappé jusqu’à ce que je trouve une série idiote que j’ai regardée avec délectation pendant que lui rongeait son frein entre mes cuisses.
J’ai remis le couvert une petite demi-heure plus tard. C’était divin.
Ensuite je l’ai libéré. Je l’ai remercié ironiquement d’avoir sacrifié son match pour mon plaisir et lui ai dit qu’il avait gagné des points. Peut-être le libérerai-je un peu plus vite que prévu.