Ne pas (se) laisser aller
La CMC c’est peu d’orgasme pour lui
Je ne veux pas le laisser aller. Je ne veux pas me laisser aller. Je ne veux pas laisser aller.
La dynamique de la chasteté masculine contrôlée tourne autour de la notion de chasteté.
Etre chaste ce n’est pas jouir à la demande.
Etre chaste, c’est être frustré. C’est être en demande d’un orgasme. C’est être amené à supplier sa Keyholder de pourvoir enfin se libérer.
Et moi, je veux pouvoir profiter du Jeu.
J’ai accepté au départ ses fantasmes un peu pervers. Je me suis investie. J’ai la charge mentale de diriger le Jeu. J’en veux une juste récompense.
Ma récompense c’est d’abord une multitude d’orgasmes. Je suis insatiable durant les Jeux.
Mais c’est aussi un pouvoir de décision total dans notre couple.
C’est profiter de moments de flemme intense lorsque je me repose et qu’il s’occupe de la maison.
C’est me faire accompagner dans mes activités par un mari dévoué et à l’écoute. J’adore lui faire porter mes paquets pendant le shopping, deux pas derrière moi.
C’est me défouler parfois en lui claquant les fesses jusqu’à ce qu’elles rougissent.
C’est être fière lorsque nous sortons dans des endroits où l’on ne nous connait pas et où je peux être capricieuse, dictatoriale, moqueuse en public avec un mari qui obéit au doigt et à l’œil et qui subit toutes mes fantaisies.
Et tout cela étant un puissant aphrodisiaque, cela ramène au point n°1 : plein d’orgasmes.
A une condition
Tout cela suppose qu’il reste en état de dépendance.
C’est-à-dire frustré.
C’est-à-dire en cage.
C’est-à-dire sans jouir. Ou alors s’il le faut vraiment pour sa santé avec l’orgasme le moins satisfaisant possible, le plus ruiné possible.
Même l’accès à sa queue doit lui être interdit, je prends soin lors des séances de lavage qu’il ne puisse la toucher.