Etre Princesse
Le pouvoir du pouvoir
Etre keyholder, détenir la clé de la cage de votre compagnon ou mari, c’est détenir la clé de son mental.
Vous seule décidez de si de quand, de comment
Il le sait, il le ressent, c’est imprimé au plus profond de sa chair et de son esprit.
Alors il vous regarde, il guette vos gestes, vos mimiques, vos expressions. Il attend tout de vous. Il est quelque part une part de vous.
Et quand par magnanimité vous lui accordez quelque plaisir – oh pas forcément du plaisir au sens où il l’entendait avant la CMC – il vous voue une infinie reconnaissance.
Vous le laissez quelques temps hors de sa cage, même si par précaution vous lui avez attaché les mains pour ne pas qu’il puisse se toucher, et il vous remercie de cette liberté accordée à sa petite queue.
Vous lui prenez cette même queue dans votre bouche alors qu’il est en cage, vous voyez celle-ci grossir, les yeux de votre male partir dans le vague, il savoure cette proximité de votre langue même si il n’a aucune chance de parvenir au vrai plaisir.
Vous le laissez vous regarder prendre votre douche et vous vous ingéniez à passer et repasser sur vos seins et votre minou et il est là la langue pendante tel le loup de Tex Avery.
C’est un miroir valorisant
Insistons sur ce qui se passe dans la scène décrite juste avant.
Vous êtes nue, vous savez bien que vous avez quelques défauts, des seins qui commencent à tomber légèrement, un petit ventre que la gym n’arrive pas à réduire complètement, des grains de beauté qui sont apparus dans certains endroits, un peu de gras superflu sur le haut des cuisses.
Et pourtant, lui ne voit rien de tout cela.
Il vous admire, il vénère votre corps.
Vous claquez vos doigts et il vient vous embrasser la poitrine. Un geste et il descend vous embrasser ce petit ventre un peu rond avec délectation. Vous le prenez par les cheveux pour qu’il vous embrasse les fesses et il se repait de vos rondeurs.
Vous lui demandez ce qu’il pense de votre corps et il vous sort une tirade pleine de fougue, insistant sur tout ce qu’il admire chez vous, ce qu’il chérit.
Vous lui dites “mais regarde, mon ventre… mes fesses… ces taches…”
Et mon chéri répond qu’il aime mon ventre, mes fesses, mes taches. Qu’il m’aime moi toute entière comme je suis.
Même par rapport aux autre femmes
Je sais qu’il regarde les belles femmes dans la rue, qu’il se retourne parfois sur elles. Je sais qu’il passe du temps à naviguer sur Internet où les femmes sculpturales abondent.
Mais je ne suis pas jalouse parce que je sais que la seule qu’il regarde avec un regard énamouré c’est moi.
C’est moi qui suis pour lui sa déesse. Je suis sa Princesse. Je me sens Princesse !