Fesses rouges
De la pitié de la Keyholder
Il m’arrive de sévir de temps à autres.
Il m’arrive même parfois de le battre juste par caprice, comme ça pour montrer mon pouvoir.
Je dois me forcer un peu parce que ce n’est pas ma nature.
Mais il faut avouer que c’est bon d’affirmer mon pouvoir, de le sentir pleinement entre mes mains, de l’entendre geindre et de le voir se débattre dans ses liens (j’aime bien qu’il soit attaché pour tout maîtriser, y compris en prenant de longues pauses).
Il se retrouve alors, comme sur la photo, avec les fesses d’un joli rouge.
Lorsqu’elles sont de cette couleur, sans marques ni zébrures, c’est que j’ai employé le martinet.
Son cul est alors uniformément enflammé. Il a chauffé d’ailleurs au point que ses petites fesses sont brûlantes.
J’ai pitié de lui.
En prendre soin
Je caresse ses fesses pour soulager sa douleur. Il m’arrive même d’utiliser des crèmes et onguents. J’en ai plein mon armoire et de toutes sortes.
Je lui applique de petits bisous humides.
Je lui titille la rondelle pour lui faire oublier ses globes en feu. Cela marche souvent.
Je m’excite en général toute seule à m’occuper de son cul.
Alors parfois, j’ai envie d’aller plus loin, de prendre Robert pour le pénétrer, pour l’envahir, pour en faire ma chose.
Lorsque j’en aurai fini avec son cul, il sera tout attendri pour s’occuper de mon plaisir. Je sens que je vais rebondir de 7ème ciel en 7ème ciel.