Son cul

Jouir du pouvoir sur son cul

L’été est une saison idéale. Car je peux exiger de lui qu’il soit nu en permanence. Enfin, nu… vous voyez ce que je veux dire : à l’exception de sa petite cage.

Remarquez qu’en hiver, je peux aussi jouer. Je lui fais faire un bon feu, je lui demande de mettre un tablier de cuisine et je lui autorise juste un pull en cashmere.

Il doit se vaquer à ses occupations ménagères les fesses à l’air. Je profite du spectacle.

Et quand je veux jouer, je lui demande de venir vers moi, elles sont juste à la bonne hauteur pour que je lutine son petit cul en même temps que je m’amuse avec sa petite cage qui est prête à craquer sous l’assaut de ses chairs gonflées.

Je peux aussi aller le visiter dans la cuisine. Je me colle contre son dos, mes mains en paume sur ses deux globes que j’englobe. Je les pétris, je les masse, je les écarte, je les écrase.

Je peux aussi prendre une cuillère en bois qui traine là, tapoter son cul juste pour le plaisir de le voir rosir. Puis y aller d’un coup plus fort qui va laisser une belle trace rouge. Je me ris de ses manœuvres pour esquiver. J’ai tout mon temps pour attendre qu’il se reconcentre sur sa tâche pour le déconcentrer d’un autre coup.

Le pénétrer

Parfois je me sens joueuse, je vais chercher un plug. J’en prends un plus ou moins gros en fonction de mon humeur.

Voici ma collection, j’adore la forme anatomique et le faux brillant qui le fait reluire dans la pénombre.

Je lui fais poser ses mains sur le plan de travail et je lui introduis le plug après avoir pris un peu d’huile d’olive dans le tiroir à bouteilles.

J’adore mélanger sexe et nourriture, deux plaisirs divins que nous a offerts la nature.

Cela me donne des envies Mmmm !