Prendre ou être pris ?

la keyholder dominatrice sodomise son mari en cage de chasteté en position de levrette

Un choix cornélien

Parfois, je me laisse aller à des gentillesses.

Il avait été merveilleux tous ces jours derniers et il méritait clairement une récompense. pas encore un orgasme, le tirage au sort que j’avais fait pour m’amuser avait été très méchant avec lui, mais au moins une très belle activité sexuelle avec moi, même si je ne retirerais pas sa cage.

Je lui avais donc présenté ce choix :

  • me prendre en levrette avec lui portant le harnais
  • ou être pris par moi dans la même position

La levrette

Vous devez vous dire que ce n’est pas une position pour une dominante de se laisser prendre en levrette. Eh bien vous vous trompez.

C’est un paradoxe mais c’est finalement assez compréhensible.

Vous vous mettez en position de totale infériorité, le cul ouvert avec l’anus offert.

Vous êtes dans une position d’animal, de chienne, de femelle devant un male en rut.

Mais lui est en cage. Il ne peut abuser parce que c’est vous qui tenez les clés de sa cage et de son mental.

Paradoxalement donc, plus vous êtes en position de vulnérabilité, plus vous ressentez un pouvoir immense. Il pourrait… mais il ne peut pas.

Je dois avouer que ce sentiment que l’on peut ressentir dans cette situation est d’un érotisme torride. Je ne la vois pas mais je sais que ma chatte est dégoulinante et que le spectacle auquel il a droit est incroyablement frustrant pour lui.

Alors oui, la levrette avec un mec en cage vous fourrageant avec le dildo, c’est incroyablement jouissif.

Son choix

Malheureusement pour moi – mais j’en avais accepté par avance l’éventualité – il a choisi de se faire prendre.

Je le lui ai fait payer, au moins en paroles. J’ai fait ce que les anglo-saxons appellent du dirty talking. Il me l’a avoué ensuite, c’est fou ce que le terme “enculé” a de pouvoir d’humiliation sur un male hétéro.

Mais il était prêt à tout, m’a-t-il dit, pour échapper à cette incroyable frustration de devoir faire semblant de me baiser sans pour autant pouvoir rien ressentir. Surtout dans la position que j’avais imposée.

Et puis, même s’il n’a jamais connu ce graal que semble être l’orgasme prostatique, il n’a jamais renoncé à espérer le ressentir un jour.

Ce qui était le plus important pour lui est qu’il ressentirait au moins quelque chose. Un peu de douleur bien sûr. Un peu d’humiliation d’être pris “comme une chienne”. Mais au moins il vivrait quelque chose dans sa chair.

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